Souvenirs d'Égarements - Histoires de Sexe

Souvenirs d'Égarements

... je commençai lentement à frotter ma queue entre ses fesses. Elle ne tarda pas à deviner mon dessein et chercha ma bouche pour m’embrasser lascivement. Je mordillai ses oreilles et lui léchai la nuque, ce que, je le savais bien, provoque l’immédiat cambrement du dos. J’ai alors baissé mon membre pour le frotter en coups de pinceau au fond du sillon, en visant le petit orifice. Melissa colla ses deux paumes sur le mur d’azulejos (ce carrelage typique hérité des Portugais) et me laissa faire. Lorsque je parvins à loger mon gland dans l’anus elle se plaignit d’inconfort, se tortilla et me supplia de reculer, ce que je fis deux ou trois fois. Elle finit par me permettre d’y aller complètement, en posant délicatement sa main sur mon ventre pour m’empêcher d’être abrupt. Dès que je parvins à faire glisser ma queue jusqu’au bout, j’entourai son ventre pour la tirer fermement vers moi pendant que de l’autre main je caressais sa chatte en frottant énergiquement son clitoris. Je sentis que ses jambes chancelaient. Soumise à plusieurs sensations simultanées, elle se mit à sangloter en me disant qu’elle jouissait de partout et d’une façon qu’elle ne comprenait pas. Au même moment, quelques jets assez puissants vinrent tremper ma main qui caressait sa chatte. La découverte que Melissa avait ce genre d’éjaculation, que je n’avais vu que sur des vidéos, déclencha en moi un orgasme d’une violence inouïe en plusieurs émissions de sperme qui parcoururent avec difficulté le tunnel serré de ma ...

... verge pour aller inonder ses entrailles. Malgré les sanglots de Melissa, je n’étais plus le maître de mes actes, je ne pouvais plus m’arrêter tant que je ne me vidasse complètement en son intérieur. Les bras pendants, une joue et une épaule collés au mur, elle me laissa finir, entraînée dans le rythme de mes mouvements saccadés. Lorsque je retirai mon pénis amolli, elle se laissa glisser jusqu’à au sol, toute haletante. Elle venait, elle aussi, de se découvrir femme fontaine. Au bout d’une ou deux minutes, elle se releva, sourit tendrement, m’embrassa et me demanda si ça m’avait plu. Plus tard, nous retrouverions son bikini sur le séchoir de la salle de bain. Non, il ne s’agissait pas d’un oubli ; elle avait l’intention de revenir. Cela me soulagea. Didier m’avoua l’avoir humé avec délectation, cet infime triangle noir qui pendait à coté de nos sungas.

À la gare routière, je saluai Melissa pour la dernière fois avant son départ pour Friburgo. Elle me promit de revenir dans une ou deux semaines et m’embrassa avec ardeur cherchant avidement ma langue de la sienne. Pendant mon trajet de retour, je remémorai son premier séjour à Rio et je me surpris à sourire tout seul en me disant que j’avais maintenant une petite amie. Je ne pus m’empêcher de penser à Didier et de souhaiter que notre isolement dans la grande ville cessât au plus vite. En arrivant à la maison, je le retrouvai tout nu comme avant et il me somma de vite faire comme lui. Cette fin de dimanche s’annonçait un peu ...