1. Souvenirs d'Égarements


    Datte: 30/06/2025, Catégories: fh, hh, jeunes, copains, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, fsodo, exercice, confession, Auteur: Marcfauwel, Source: Revebebe

    Nous appartenions tous les deux à des familles d’origine européenne installées depuis longtemps à Friburgo, une ville de l’État de Rio de Janeiro enfoncée dans les montagnes. Nous venions de passer le vestibular (le concours qui donne accès aux cours supérieurs) et il était temps de déménager à la cidade grande, la métropole, où se trouvait l’université pour laquelle nous fûmes sélectionnés et dont le diplôme était reconnu un peu partout dans le pays. Nous arrivâmes à Rio une quinzaine de jours avant de commencer notre cours de génie civil, juste à temps de louer un petit appartement situé tout près de l’université d’État, dans une rue très laide, très passante et dénudée de toute végétation. C’était un studio meublé dont la seule fenêtre donnait sur un grand espace ouvert vers le ciel, seul privilège du dernier étage de ce vieil immeuble sombre et mal entretenu. Mais les cours commencèrent bientôt et avec eux une intense activité pour essayer de rattraper un peu les retards causés par douze années d’études en école de province. On n’avait donc pas le temps de nous attarder sur le manque de charme de notre habitation.
    
    Au début, nous travaillions fort pendant tout le temps libre à la maison, y inclus les congés et les weekends. Peu à peu, cependant, la fatigue nous exigea un minimum de distraction, au moins en soirée. Nous regardions la télé en discutant sur toutes sortes de sujets, notamment la difficulté que nous éprouvions tous les deux à faire de nouvelles ...
    ... connaissances et tout spécialement celle des filles. Amis intimes depuis l’enfance, nous ouvrions facilement notre cœur l’un à l’autre et ne manquions pas d’avouer nos excès d’activité solitaire, requise, prétextait-on, pour combler le manque absolu d’une saine vie amoureuse que nous n’avions plus déjà depuis trois mois.
    
    C’est lors d’une de ces conversations, un jour où nous étions particulièrement énervés par le vide érotique de nos vies que me vint l’idée de proposer à Didier - c’était son nom - que nous exposions la proportion de notre désarroi. Nous étions assis dans le canapé en face de la télévision et il nous suffit de baisser un peu nos shorts de pyjama pour mettre à nu la manifestation physique de cette absence qui commençait à nous consommer. Lorsque mon membre libéré vint se coller contre mon ventre, il était déjà tout gonflé et pulsant. Un tiers du gland forçait le passage par l’extrémité du prépuce et du méat jaillissait le fluide transparent qui se mit tout de suite à former une petite flaque à quelques centimètres du bord inférieur de mon nombril. Je remarquai que Didier suivait tout ça en évitant précautionneusement de rendre trop explicite sa curiosité. Quant à moi, je regardais franchement ses parties intimes exposées, que d’ailleurs j’avais déjà vues à maintes occasions à Friburgo, soit chez lui, soit au club de gym où nous nous exercions et nagions. Didier possédait un pénis d’environ dix-sept centimètres dont le gland se déployait dans toute sa splendeur de sexe ...
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