Ménage à trois sous conditions
Datte: 30/06/2025,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
hplusag,
fplusag,
extracon,
nympho,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
entreseins,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
extraconj,
bisex,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... caressa lentement, ménageant les chairs délicates pour mieux s’attarder sur les points sensibles, allant et venant dans la soyeuse gaine qui nappait ses doigts d’un abondant miel, étirant ici, pressant là, ses lèvres collées à l’oreille de Catherine pour amplifier encore la montée du plaisir :
— Abandonne-toi, ma chérie, je vais te faire hurler de plaisir. Je sens déjà ta cramouille prête à déborder, tu es brûlante, ma douce, ton bonbon d’amour est dressé et j’ai envie de le sucer, de l’exciter du bout de ma langue… Tu sens mon doigt gluant de toi qui force ton joli cul serré ? Jouis sur ma main, Marie, lâche-toi, crie… !
Catherine ne put se retenir. La tête enfouie au creux de l’épaule de sa maîtresse pour ne pas hurler, elle émit un long gémissement rauque et glissa dans un orgasme profond, le corps agité de soubresauts incontrôlés, sa vulve gonflée déversant d’un coup son trop-plein de jouissance, son étroit conduit enserrant les phalanges qui en avaient franchi la porte. Cathy la tenait toujours serrée contre elle, sans bouger, pour lui permettre de récupérer après ce tsunami sensoriel qui venait de la submerger.
— Oh, Cathy, comment fais-tu pour me donner autant de plaisir ? J’ai cru m’évanouir tellement c’était fort… Tu es une magicienne du désir, ma muse du plaisir, je suis à toi, ma chérie, toi seule connais les secrets de mon corps et de mon âme.
— C’est parce que tu me plais, ma belle Marie, dès que je te vois, j’ai envie de toi… et on dirait bien que ...
... c’est réciproque, non ?
Catherine resta encore un petit moment immobile blottie contre le corps de sa bienfaitrice des sens, en appréciant la chaleur qui irradiait en elle, mais interdisant à ses mains d’en suivre l’excitant relief. Attendant la décroissance du désir qui la parcourait encore, elle réfléchit à la manière de lui relater sa discussion avec Franck.
— Cathy, mon amour, tu sais que je ne te mens jamais, alors il faut que tu saches…
— Tu veux me quitter ? Je ne te plais plus ? Marie, si c’est ça, dis rien et pars…
— Chut, tais-toi, adorable grande gueule, écoute-moi ! Ce matin, j’ai fait l’amour avec mon mari, comme tu me l’as conseillé, en me faisant la plus salope possible. Il a adoré, il bandait dur, on a joui très fort tous les deux… et…
— Tu veux me rendre jalouse ou quoi ? Il t’a enculée ? Je ne te donne pas assez de plaisir ?
—(Lui posant un doigt sur les lèvres) De grâce, ma déesse, ferme-la un moment et garde ton impulsivité pour tes vendeurs de sirop, sinon je vais perdre le fil et ce sera encore pire que ce que tu imagines… Franck m’a demandé plusieurs fois d’où me venait cette soudaine ardeur sexuelle, alors je le lui ai dit.
— Mais… mais… tu lui as dit quoi ? Que toi et moi… on… enfin que…
— Oui, Cathy, je lui ai dit qu’on avait fait l’amour et que tu m’avais fait découvrir des merveilles, que seule une femme pouvait apporter autant de plaisir, car elle connaît les zones les plus érogènes et sait les stimuler, que tu m’avais conduite au paradis ...