Ménage à trois sous conditions
Datte: 30/06/2025,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
hplusag,
fplusag,
extracon,
nympho,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
entreseins,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
extraconj,
bisex,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... l’invite à dîner ? Que je la remercie de t’avoir appris de quoi « faire gicler mon foutre ? »
—(Ironique) : Tu serais capable de faire ça, mon amour, vraiment ?
— Je n’ai pas dit ça… mais je suis quand même curieux qu’une femme puisse te faire autant d’effet, tu ne m’as jamais confié de fantasmes de gouine.
— « Lesbiens », Franck, gouine c’est moche et péjoratif. Et elle est splendide et bisexuelle, je te le rappelle…
— Tu veux en plus me jeter dans ses bras ? Non, mais je rêve… Tu ne vas pas bien, Catherine, tu as besoin d’aide.
— Si, si, je vais bien, et j’ai juste besoin de l’aimer, en même temps que toi. Pour le moment je suis incapable de choisir et je ne VEUX pas choisir « entre ta queue et sa chatte », ce serait insupportable.
Long silence autour de la table, Franck et Catherine avaient le regard perdu, tout venait de basculer, alors les âmes devinrent instables, les certitudes se firent évanescentes, pour autant la vie se devait de continuer et il fallait l’organiser.
— Catherine, j’ai réfléchi. Je t’aime, tu le sais même si je ne suis pas le plus habile à te le monter, et je n’imagine pas te perdre. Tu as fait une rencontre, semble-t-il, exceptionnelle, loin d’être une aventure d’un soir si j’en crois les mots que tu utilises pour me décrire ta… cette… On doit dire comment, au fait ?
— Elle s’appelle Catherine, mais on l’appelle Cathy.
— Ok. Je pense qu’il faut que je rencontre cette… « Cathy », mais je ne sais pas comment… ni quoi lui dire sans ...
... l’accuser de dévoyer ma femme.
— Oh, Franck, je le savais, tu joues les caïds, mais tu es un être sensible, on va tout mettre en œuvre pour trouver une solution, mon amour, parce que je ne peux pas vivre dans le mensonge. Merci, mon amour, merci…
L’après-midi Catherine travailla depuis chez elle, mais eut toutes les peines du monde à se concentrer. Elle imaginait des scenarii pour présenter Cathy à Franck, mais redoutait la réaction imprévisible de sa chérie lorsqu’elle lui soumettrait l’idée.
Le lendemain, la journée de travail finie, Catherine rassembla tout son courage et se rendit dans l’antre de sa cicérone. C’est Cathy qui courut vers elle et se jeta dans ses bras, qui l’embrassa fougueusement avant que de lui murmurer timidement :
— Tu me manquais déjà ma… ma… ma chérie, ta douceur, ta sensualité… embrasse-moi encore…
Peu habituée à pareille démonstration de la part de son initiatrice, Catherine se demanda ce que cachait cette inhabituelle effusion. Elle fut rassurée lorsque Cathy glissa une main sous sa jupe et protesta d’y trouver un sous-vêtement, si détrempé soit-il, sous lequel ses longs doigts fins prirent possession du fruit juteux.
— J’ai envie de te donner du plaisir, Marie, ici, tout de suite, tu veux ?
La moiteur de son entrecuisse tint lieu de consentement. Il eut été incongru de décliner la sensuelle imploration tant le désir parlait pour elle, son souffle saccadé et ses joues rosies tenant lieu de mots. Debout, appuyée contre le bar, Cathy la ...