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Drôle de deuil
Datte: 20/06/2025, Catégories: ff, caresses, init, occasion, lesbos, Auteur: Lesbo Lover, Source: Revebebe
... sur mes joues au grand dam de mon maquillage. Je ne réagis pas lorsque dans un mouvement de compassion elle pose sa main sur mon genou dénudé, faisant agréablement frémir ma peau. Je n’interromps pas ma confession lorsqu’elle se lève pour s’asseoir tout près de moi sans me quitter des yeux. Je ne la repousse pas lorsqu’elle remet en place une mèche de cheveux derrière mon oreille frôlant au passage mon lobe hypersensible. — Ma pauvre chérie. Je n’ai pas le temps de m’offusquer qu’elle dépose un tendre baiser sur mes lèvres ourlées de rose et reste inexplicablement passive, laissant une douce chaleur envahir mon corps si froid depuis le départ de mon papa. Isabelle n’entreprend rien de plus, sa main sur mon genou et sa bouche sur la mienne. Elle me laisse le temps de la découverte avant une éventuelle réaction qui finalement la surprend peut-être. Doucement, j’entrouvre mes lèvres invitant de fait sa langue à partir à la découverte de la mienne ce qu’elle fait avec une douceur affolante qui se transforme bientôt en passion dévorante. Je me laisse dévorer la bouche d’autant plus facilement que sa main me rend dingue en frôlant mon sein à travers mon chemiser, jouant déjà avec une pointe dressée. Je gémis frémissant entre ses bras qui enveloppent mon corps alangui par un désir nouveau qui humidifie déjà ma culotte de satin. Notre baiser est délicieusement long, rendant nécessaire une pause durant laquelle nos regards parlent pour nous. Les yeux dans les yeux, elle ...
... se confie à son tour. — J’en rêvais depuis si longtemps… — Ah bon ? Mon étonnement est sincère. — Oh oui ! — Je n’ai rien vu. — Heureusement ! répond-elle, l’air malicieux. — Ah bon ? Et pourquoi ? — Parce que tu ne serais peut-être pas venue… Elle reprend ma bouche avant que je ne réponde, jouant de sa langue pour me faire taire. Je gémis en sentant des doigts défaire un à un les boutons de mon chemisier au froissement troublant comme une promesse érotique. Je me laisse faire, comme souvent avec mon mari, mais pour la première fois avec une semblable déterminée à me débarrasser de tout vêtement superflu. Désormais en soutien-gorge je soulève même mes fesses pour lui faciliter l’accès à la fermeture de ma jupe qui glisse bientôt sur mes jambes nues. Les yeux fermés, je n’ose affronter son regard posé sur mon corps plus si ferme, me félicitant au passage d’avoir choisi de la lingerie coordonnée. — Tu es belle ! Les paupières toujours closes j’accepte le compliment en frémissant au contact de ses lèvres qui effleurent mon cou pour glisser lentement vers ma poitrine tendue par le désir. Car oui, j’ai envie de tendresse, de caresses et de plaisir. Ses doigts remontent maintenant le long de mes flancs cheminant lentement vers mes seins sensibles qui n’attendent que cela en fait. — Humm ! Je ne peux retenir un gémissement lorsque sa langue agace les pointes tendues qui pointent sous la fin tissue. Isabelle s’attarde longuement, alternant légers ...