1. La Branleuse


    Datte: 20/06/2025, Catégories: Accouplements Érotiques, Auteur: byfrederic_le_dard, Source: Literotica

    ... branler.
    
    Encore une fois, il s'est passé un long moment avant qu'il ne réagisse. Mais les hommes sont ainsi faits qu'ils ne peuvent pas résister à ce genre de proposition. Il a pris ma main et l'a posée sur sa braguette.
    
    "Caresse toi avec ma main. Je veux te sentir bander sous mes doigts."
    
    Cette fois, il obéit sans attendre. Il plaquait ma main sur le renflement de son pantalon et frottait de haut en bas.
    
    "Sors la tige que je la vois."
    
    Il défit les boutons de sa braguette et fouilla dans son slip pour extirper son sexe.
    
    C'était une belle bite, de bonne taille, déjà bien dure. Le gland était encore recouvert par le prépuce.
    
    De lui même, il plaça ma main autour de la colonne. Je me mis à effleurer le membre sur toute sa longueur.
    
    "Baisse ton pantalon pour que je puisse toucher tes couilles."
    
    Il eut un regard circulaire pour scruter nos voisins dans la salle. Cela dû le rassurer parce qu'il défit sa ceinture, ouvrit le premier bouton, souleva ses fesses et se dénuda jusqu'à mi cuisses.
    
    Je lui ai empoigné le paquet, décollant les bourses du bassin. Je faisais délicatement rouler les testicules sous mes doigts. J'ai remonté ma main sur la verge et j'ai lentement décalotté le gland. Il était déjà gluant et gorgé de sang, magnifique. J'aurais voulu l'emboucher mais je tenais à rester fidèle à mon histoire. J'ai tout de même posé mon index sur le méat pour recueillir une goutte de liquide qui perlait et je l'ai étalée sur mon pouce, savourant le contact ...
    ... de ce nectar. Je me suis amusée à séparer mes deux doigts pour voir un fil translucide s'étirer. J'ai recommencé plusieurs fois, recueillant tout ce que je pouvais de la surface du gland.
    
    Puis, j'ai commencé à le masturber en tenant son sexe juste en dessous du prépuce, l'index caressant le frein pendant que ma main montait et descendait en serrant le cylindre de chair.
    
    J'ai pris un rythme le plus régulier possible, sans précipitation. Je voulais qu'il s'habitue et se laisse aller jusqu'à l'assouvissement. Quand j'ai compris qu'il était enfin à la recherche de son plaisir, j'ai commencé à diminuer progressivement la cadence.
    
    Il avait fermé les yeux et il tendait progressivement les muscles de ses cuisses. Il avait ses deux bras sur les accoudoirs, s'agrippant au tissus.
    
    J'avais les yeux rivés sur le petit trou au sommet de son gland. J'attendais le jaillissement.
    
    Je continuais mon mouvement de plus en plus lent. Je sentais le sang battre dans son sexe, le gonfler périodiquement. Je tirai de plus en plus fort vers le bas la peau du prépuce, forçant sur le frein, avant de remonter et de recommencer.
    
    J'en étais à un va-et-vient toutes les trois secondes. C'était très lent. Mais je sentais que sa tension ne se relâchait pas, au contraire. Il devait vouloir que j'en finisse mais je le laissais languir. Je voulais que son désir se prolonge, indéfiniment si cela avait été possible, tellement cela m'excitait. Je sentais que ma culotte était de plus en plus mouillée. ...