Pleine Lune
Datte: 18/06/2025,
Catégories:
grp,
piscine,
forêt,
collection,
champagne,
conte,
Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe
... avec ses épaules carrées et les poils sombres sur sa poitrine, elle est si bien qu’elle s’en fout du préservatif, elle a déjà deux enfants et si elle doit en élever un troisième, et bien ce sera un magnifique souvenir de cette nuit exceptionnelle.
La table est juste à la bonne hauteur et les premiers coups de reins d’Antoine enfoncent sa grosse bite profondément en elle. Et il ressort, et il rentre à nouveau. Il aime voir sa queue disparaître et ressortir luisante d’elle. Il se tient à ses hanches, il se tient à sa taille, il se tient à ses seins, ses mains changent sans arrêt de position mais sa queue, elle, rentre et sort comme un piston. Il se voulait un loup mais il baise comme une machine, puissante et régulière. C’est ce qu’il aime dans le sexe, se sentir puissant et régulier, déterminé et consciencieux. Jamais il n’oublie sa partenaire, jamais il ne se laisse aller. Noémie le lui dit parfois :
— Tu es trop sérieux, mon Antoine, laisse-toi aller, oublie-moi un peu, pense à ton plaisir.
Mais son plaisir est là, quand il plante des arbres ou quand il fourre une femme, il aime le travail bien fait, il aime sentir la sueur lui couvrir les épaules, il aime la tamponner comme s’il enfonçait un piquet avec une masse, en rythme.
Au bout d’un moment, quand il sent sa partenaire au bord de l’orgasme, il s’arrête soudain, bien enfoncé en elle, et la regarde. Elle est moins belle que tout à l’heure, toute en sueur, décoiffée, l’air perdu mais plus émouvant aussi, si ...
... proche, si intimement liée à lui. Il a envie de lui dire qu’il l’aime, qu’il l’a toujours aimé, qu’elle est la plus belle femme qu’il ait jamais vue mais il se tait parce que ce ne serait pas juste même si c’est ce qu’il ressent. Alors il embrasse son ventre humide et il se contente de dire :
— Je te veux, Marianne. Si tu savais comme je te veux… !
Et il recommence à la tamponner en cadence, encore plus fort si c’est possible, un peu plus vite, en grognant sous l’effort, comme un ours, c’est un ours qu’il est, finalement.
Marianne a bien ressenti la puissance de l’émotion qui a envahi son partenaire, elle en est bouleversée et comme son pubis vient s’écraser contre son clitoris à chaque coup de reins, comme elle se sent si complète avec cette grosse queue qui la remplit en permanence, elle lâche prise, elle crie « Oh oui ! » à chaque nouveau coup, elle ne retient plus rien, ni ses cris, ni son jus intime qui coule à flots sur la belle table en teck, ni ses muscles qui se contractent, ses cuisses se serrant autour de la taille de son amant, son dos se cambrant dans un ultime effort pour qu’il la pénètre encore plus loin et dans un dernier « Oh oui ! » elle jouit, et jouit encore parce qu’il ne s’arrête pas, le bougre, parce qu’il cogne de plus en plus vite, de plus en plus fort jusqu’à ce que ce soit intenable et qu’il jouisse à son tour et qu’il l’inonde, dans son con, sur son ventre, toujours debout, se sentant fort comme un grizzli, le roi du monde, avec cette semence ...