1. Le grand jour


    Datte: 18/06/2025, Catégories: ff, fplusag, fsoumise, fdomine, humilié(e), intermast, Oral fdanus, jouet, lavement, uro, piquepince, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... inquiète puisqu’elle tartine de salive mon anus avec ce que je suppose être son index avant de le fourrer dans mon vagin.
    
    — Tu mouilles déjà, petite cochonne ! Tu m’économiseras de la crème, se moque t’elle en revenant enduire le cratère.
    
    Je sursaute au passage de la canule. La sensation est beaucoup moins agréable qu’avec un doigt, et surtout, elle va plus profond. J’ai l’impression qu’elle entre jusqu’au milieu du ventre. La brutale pression de l’eau me fait gémir et contracter instinctivement.
    
    — Arrête de gigoter, poltronne ! Laisse entrer au lieu de te fermer !
    
    Facile à dire. J’ai beau essayé de me détendre, j’ai des hauts le cœur de plus en plus forts au fur et à mesure que mes entrailles sont envahies. L’introduction du liquide me semble durer une éternité. Je sens mon ventre gonfler, prêt à éclater. Je suis au bord des larmes.
    
    — Attention ! Je vais retirer l’embout. Serre tes fesses quand il sortira. Ne m’arrose pas !
    
    Je fais ce que je peux, même boucher mon cul avec un doigt, en désespoir de cause. J’ai mal, j’ai le tournis, je me trouve pitoyablement ridicule, mais j’obéis et je me retiens tout le temps qu’elle l’exige.
    
    — Tu peux te vider.
    
    Oh la honte ! Me vider là, devant elle ?? L’humiliation suprême ! Mon regard est suppliant. Elle hoche la tête. Pas le choix, sinon celui de prononcer le mot magique et d’abandonner avant de l’avoir commencée une initiation que j’ai sollicitée.
    
    Je ravale ma fierté pour m’accroupir et laisser couler ...
    ... mon intestin, qui, horreur, ne m’a pas attendue… Cascade nauséabonde qui dure. Je ferme les yeux pour ne pas voir ma déchéance. Illusion ! J’essaie de ne penser à rien. Peine perdue !
    
    Enfin le flot s’arrête. Je rouvre les paupières. Maîtresse Colette a tiré un mouchoir parfumé de son bustier. Mais à part cela, elle n’exprime ni dégoût ni mépris. Elle attendait simplement la fin, la douchette à la main. Son premier geste est de m’en arroser les chevilles et les pieds.
    
    — Tourne-toi, pour que je te lave.
    
    Une nouvelle fois, j’offre mon cul. L’eau ruisselle sur mes fesses, froide et réconfortante. Je n’ai pas besoin d’ordre pour les ouvrir et tendre ma raie et ma chatte à la douche. Le jet est puissant, nettoyage efficace qui picote les chairs tendres d’une multitude d’aiguilles. Le bord de la douchette se colle à mon anus. Nouvelle intromission, « jusqu’à ce que le reflux soit clair » dit la Maîtresse. Je patiente en tremblant, mes jambes flageolent.
    
    — C’est bon, sèche-toi, conclue t’elle en me lançant une serviette. Je ne veux pas voir d’humidité autre que naturelle.
    
    C’est fait, les frictions m’ont un peu rassérénée. Je me redresse et descends de mon perchoir infâme. La pureté de l’air m’étonne, je n’avais pas remarqué le bruissement de la ventilation et du diffuseur d’ambiance avant qu’ils ne soient arrêtés.
    
    Pas le temps de souffler. Un tapis au sol m’attend, où Maîtresse Colette m’invite à m’installer assise en tailleur. Pour des exercices d’assouplissement, ...
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