1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1597)


    Datte: 06/06/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... alors que tous mes capteurs sensoriels étaient activés, je recevais cette douce caresse sexuelle comme jamais auparavant.
    
    Cette femme autant vicieuse que sa sœur, me maitrisait totalement et savait me conduire au bord de la jouissance, sans jamais la provoquer. Elle pressait, caressait, frottait, effleurait, étirait ma nouille à qui aucune des sensations qui pouvaient exister ne m’était épargnées. Je regardais ma nouille, elle était rouge écarlate, totalement cramoisie, le gland déformé par l’attente. Antoine subissait la même chose, mais par Madame Marie laquelle sa main s’activait sur la hampe de chair congestionnée d’Antoine. Mon ventre hurlait du désir de lâcher le plaisir accumulé, mais Madame Claire ne me le permettait pas. Elle contenait et contrôlait le feu qui me dévorait. Enfin, nos nouilles étaient relâchées… Les deux sœurs perverses nous libéraient de toutes les étreintes qui nous emprisonnaient. Les cordages étaient ôtés, nos couilles libérées de leurs cordelettes, nos plug retirés. J’étais sur le point d’apprécier le bonheur de ma liberté retrouvée, lorsque ces deux Dominas perverses nous exigeaient de les suivre. Je me sentais honteux, ma nouille toujours raide, mes fesses brulantes, nous suivions ces deux vicieuses mégères comme deux enfants disciplinés.
    
    - Montez et couchez-vous sur ces slings, les salopes, vos culs de putain bien dégagés, le cuir du sling devant passer sous vos reins de catin.
    
    Nous nous couchions comme ordonné en ignorant encore ce ...
    ... que nous allions subir. Madame Marie m’attachait les chevilles et les poignets avec des menottes aux chaines du sling, puis se dirigeait vers mon cul pour y introduire quelque chose que je n’avais jamais expérimenté : Un chapelet de boules, cinq au total, toutes identiques et d’une bonne grosseur. Cette perverse cuisinière procédait lentement à leur introduction pour que je ressente le passage de chacune d’elles profondément dans mon anus. L’impression était incroyable, non douloureuse, mon trou avait été préparé longuement par la présence d’un plug. En revanche, la présence de ces boules me donnait la sensation d’avoir le ventre plein et qu’une énorme pression s’y exerçait. Ma prostate était compressée, avec l’impression que tout le sperme contenu voulait sortir. Mon gland devenait fou, il palpitait sans cesse, le bout de ma nouille était une nouvelle fois caressée furtivement, pour me rendre un peu plus hystérique encore. La suite me conduisait dans l’inimaginable. Très lentement et tranquillement, Madame Marie me faisait un bondage serré de mes couilles. Tel que j’étais positionné, je ne voyais pas mon bas-ventre, mais je savais que mes couilles, séparées l’une de l’autre par une cordelette, ressortant comme deux noix obscènes, devaient être rouge foncé. A cet instant, je voyais cette sévère cuisinière se saisir de son objet fétiche, sa cravache…
    
    Mon regard anxieux se tournait vers le Maître. Lui, tranquillement assis, regardait silencieusement cette séquence redoutée, ...
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