1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1597)


    Datte: 06/06/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... choix parmi les six soumises MDE que je vous ai adressées récemment ! (NDLA : Lire Camélia au Château devenue chienne Maera MDA, l’épisode écrit par MDE) - En effet Monsieur le Marquis, c’est celle-ci, celle que j’ai appelé s28 et qui, chez Vous, se nomme esclave salope Nala MDE. Je l’ai choisi pour être en conformité avec Vos Exigences de sélection. C’est elle qui a le bassin le plus large, une parfaite santé et surtout les meilleures dispositions naturelle à une parfaite fécondation. Et donc nous prenons moins de risques, expliquait cette fameuse Claire en désignant de son index cette jeune soumise allongée se faisant maintenant doigter par Walter qui la besognait de ses longs doigts….
    
    - Très bien Claire, et vous pensez que le jour J est arrivé…- Oui j’ai scrupuleusement vérifié… elle est à 12 jours de ses dernières règles, sa température vient de s’élever de cinq dixième… Cette chienne a visiblement ses chaleurs, cette bonne femelle à la reproduction est donc fécondable, c’est le bon moment !... Mais que vois-je ? Ce sont eux vos deux mâles reproducteurs ?, reprenait Madame Claire en désignant Antoine et moi d’un coup de tête
    
    Je ne comprenais rien du tout de cette conversation…
    
    - Oui exactement, ce sont eux… Il faut finir de les préparer, je compte sur toi, ma bonne Marie.
    
    La cuisinière se frottait les mains, son regard venait de s’illuminer, sa perversité s’affichait largement sur son visage…
    
    - Vous pouvez compter sur moi Monsieur le Marquis, avec l’aide ...
    ... de Claire, nous allons finir le boulot… ces deux salopes de mâles reproducteurs vont se rappeler longtemps de ce que c’est que de procréer… Vous leur avez bien donné les comprimés, Monsieur le Marquis ?
    
    - Oui, il y a tout juste un quart d’heure…- C’est parfait, Monsieur le Marquis, ça nous laisse un peu de temps.
    
    Une douleur inouïe me traversait la fesse gauche, accompagnée d’un claquement. Je réalisais que cette perverse cuisinière ne jouait pas avec sa cravache mais me fouettait. Loin de s’estomper, la douleur grandissait dans les secondes qui suivirent. Avant même que je puisse retrouver mon souffle, perdu par la surprise, un second coup frappait de nouveau mes fesses. Plus fort et plus cinglant que le premier. Il provoquait une douleur qui me traversait le ventre et se diffusait dans tous mon corps. C’était maintenant au tour d’Antoine de recevoir le fouet, deux coups lui aussi qui le faisait gémir et se tordre, m’entrainant avec lui, puisque toujours solidaires et attachés l’un à l’autre par nos colliers. Les coups s’enchainaient, passant de l’un à l’autre, poussant nos corps aux limites les plus extrêmes pour finalement s’arrêter juste avant que nous demandions grâce. Alors que je me concentrais sur ces brûlures et tentais de les apprivoiser, je sentais une main pleine de lubrifiant, celle de Madame Claire, se poser sur mon gland. Elle commençait à me masturber très lentement, très doucement. L’effet était simplement dément. Perdu dans ces nouvelles sensations, ...
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