1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1597)


    Datte: 06/06/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode N°1588) -
    
    Chapitre 33 : Une fécondation parfaitement maitrisée -
    
    Je reconnaissais la voix du Maître… C’était Lui, quel soulagement ! Il me faisait boire un peu d’eau, j’avalais sans crainte le comprimé… J’entendais Antoine geindre, lui aussi déféquait bruyamment tout en s’excusant de n’avoir su et pu retenir ce lavement… Lui aussi fournissait un effort physique pénible, je l’entendais à bout de souffle, ahanant sous le joug des perversions subies... Peu après, Monsieur le Marquis ôtait ma cagoule, libérait les liens me tenant en semi-suspension, sans pour autant me libérer les mains toujours attachées derrière ma nuque, puis Il m’approchait d’Antoine. De mon collier, le Noble attachait une courte chaine à celui de mon congénère, faisant ainsi nous rapprocher plus encore l’un de l’autre. Du centre de cette courte chaine, Il fixait une laisse et nous entrainait derrière Lui cette fois-ci en bipédie. Nous montions à l’étage supérieur, passions dans un long couloir, nouilles tendues à l’extrême, tous deux ravagés par un désir sexuel incroyable, mon bas-ventre en surchauffe, titillé par ce plug qui bougeait à chacun de mes pas, par le frôlement du corps d’Antoine, par cette corde rêche qui brulait mon entrejambe. Jamais je ne m’étais senti autant excité, jamais ma nouille avait été aussi tendue. Elle me faisait souffrir tant elle était érigée, gorgée de sang aux veines ...
    ... saillantes, dure comme du marbre, brulante comme un brasier ardent...
    
    Lorsque j’entrais dans cette pièce largement éclairée, je fus simplement stupéfait et totalement désorienté ! Outre cette très belle et jeune femelle soumise entièrement nue, assise ou plutôt presque allongée, sanglée sévèrement sur un fauteuil de gynécologie, ses cuisses largement écartées, laissant ainsi bien en vue sa vulve aux contours parfaitement épilés bien en vue et avec des pinces posées sur ses lèvres intimes lui écartant amplement sa chatte, et je voyais à ses côtés, non pas une Madame Marie… mais deux ! Deux cuisinières, deux femmes identiques avec le même rictus pervers et sadique, le regard noir, toutes deux avec la même morphologie, toutes deux ayant une cravache en main, Seul détail d’importance, l’une était coiffée différemment avec une queue de cheval, l’autre aucune... J’hallucinais !… Était-ce le comprimé avalé qui m’égarait ? Était-ce l’hologramme de Madame Marie ? Je n’y comprenais plus rien… Walter était là, lui aussi, il s’amusait avec les tétons de cette jeune femelle soumise au visage masquée. Il la faisait gémir en serrant, pressant et tirant sur ses mamelons en comprimant ses seins de ses deux mains…
    
    - Bonjour Claire !, lançait le Maître en s’avançant vers l’une d’elle.
    
    Monsieur le Marquis embrassait celle qui avait une queue de cheval, puis reprenait
    
    - Votre sœur jumelle, ma bonne et dévouée Marie, ici présente, toujours consciencieuse, m’a dit que vous aviez fait votre ...
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