1. Marie-Sophie


    Datte: 04/06/2025, Catégories: fh, fffh, Collègues / Travail voyage, Oral pénétratio, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... rapidement.
    — Pas de souci, le temps de me brosser les dents et je suis prête.
    
    De fait, malgré quelques insupportables embouteillages, nous arrivons un peu en avance, prenant le temps de faire le tour de la zone d’activité. Elle ressemble à toutes les autres, avec ces hideux hangars disparates, ces boîtes à sommeil et ces quelques discounteurs périphériques. Sordide.
    
    — Merci pour cet hôtel confortable qui nous a évité de nous retrouver dans un de ces cubes sinistres.
    — Oui, on se croirait dans l’un de ces jeux en ligne que j’ai pratiqués pendant un temps,« Second Life ». Il y a des zones commerciales qui ressemblent à ça. D’ailleurs, je ne comprends pas comment les joueurs passent leur temps à essayer de reproduire cette médiocre réalité alors qu’il est possible d’inventer n’importe quoi, de plus beau, de plus futuriste, de plus délirant. C’est pour ça que j’ai arrêté.
    
    La négociation est longue et ardue. Pourtant les dirigeants sont jeunes et tournés vers l’avenir. Excellente partenaire, Marie-Sophie sort à tout moment le bon document, la bonne image sur sa tablette, elle effectue en un éclair le bon calcul, bref elle est précieuse. Et la négociation est positive, nous signons demain, le temps que les juristes analysent le contrat. Mais nous sommes tranquilles, les nôtres y ont travaillé bien avant. Pour nous faire plaisir, ils nous invitent à déjeuner… chinois. Je n’ai rien contre, mais dans un de ces hangars à l’enseigne gigantesque et clinquante, je crains le ...
    ... pire. En fait, c’est un self : buffet d’entrées, buffet de desserts, plat chaud à emporter sur plateau, sous cloche. L’immense salle est à moitié remplie de cols blancs des différents bureaux de la zone. C’est ni bon ni mauvais, juste correct. Vivement ce soir que je goûte à l’agneau de Pauillac ! L’après-midi, je propose à ma collaboratrice quelques visites de caves, ou plutôt de châteaux. Nous passons un délicieux moment dans le charmant village de Saint-Émilion, dégustant et achetant quelques bonnes bouteilles. Sur mon smartphone, j’arrive à retrouver la chanson de Nicole Croisille, « La Garonne », que je branche sur la sono de la Jaguar. Elle ne connaissait pas, elle adore, nous l’écoutons tout le long du long retour, à cause des embouteillages du soir.
    
    Le scénario de la veille se reproduit. Nouvelle robe du soir, nouveau succulent dîner, nouvelle promenade du côté des Quinconces. Nous rentrons quand arrive la fraîche brise de mer. Vers onze heures trente, nouveaux gratouillis à ma porte, la dame est ponctuelle. Cette fois, je l’attends, j’ai trop envie de ses petites fesses rondes et j’ai envie de la prendre debout. Elle entre, je suis déjà nu. Je lui pose sa robe de chambre pendant le premier baiser, ah tiens, c’est la même, je passe une main entre ses cuisses pour vérifier l’humidité. Je ne sais pas si elle s’est masturbée en attendant ou si seul le désir l’inonde, mais elle est déjà trempée. Je la plaque contre les portes-miroirs de la grande armoire et je glisse mon ...
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