Mon viol
Datte: 04/06/2025,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Tamalou, Source: Hds
... C’était très érotique, mais ma raison a repris le contrôle. Je lui ai dit : « Maintenant, Thomas, il faut t’arrêter. Ce n'est pas une bonne idée »
La main libre de Thomas s'est frayé un chemin dans mon peignoir ouvert et s’est emparée de mon sein gauche. Il le massait tendrement. Il referma ses doigts sur mon mamelon. Il le pinça presque violemment. Une autre secousse a traversé mes organes. Il semblait y avoir un nerf qui reliait mon mamelon à ma chatte. Chacune de ses pressions sur mon sein créait une réplique dans ma chatte qui s’humidifiait. Je luttais pour libérer mes poignets de son emprise, mais il était trop fort. Je dois penser qu'il est trop fort.
Il m’a embrassée dans le cou. Il me suçait et me léchait comme si j’étais une friandise. Ma chatte me picotait sans interruption maintenant. Sa main a essayé d’atteindre ma chatte rasée. J'ai résisté. Il était tellement fort. Je sentais le bout de ses doigts se frayer un chemin entre mes jambes. J'ai contracté mes muscles pelviens, ne lui permettant pas d'accéder à ma partie la plus intime. Il s'est déplacé au-dessus de moi sur le lit, tenant toujours mes poignets. Son genou s'est frayé un chemin entre les miens, me forçant à ouvrir mes jambes, me rendant accessible contre ma volonté.
Je savais que je ne pouvais pas le laisser toucher à ma chatte. S'il le faisait, alors il le saurait. Il saurait que j'étais déjà mouillée. Il saurait que ma chatte n'écoutait pas ma volonté. Je me suis tortillée pour m'éloigner de ...
... lui. Mais il était implacable. Son doigt glissa le long de mes lèvres intérieures. Il m’a caressé là, ne tentant pas d'entrer, juste pour me taquiner. J’ai lutté, mais j'ai su que je perdais. Mon corps semblait s'ouvrir comme une fleur. Je bougeais pour échapper à son contact, mais l'humidité qui était en moi a commencé à s’échapper, et la pièce fut imprégnée de mon odeur. Ma volonté combattait cette intrusion, mais mon corps me trahissait. Il devenait accueillant et chaleureux.
J'ai su que son pénis était de nouveau en pleine érection, dur et tendu, comme un gourdin. J'aimais ce contact contre moi. C'était si bon d'essayer de lui échapper. J'ai essayé de m'éloigner de sa matraque, mais je n'avais nulle part où aller. Mes jambes étaient maintenues écartées et ouvertes par les siennes. Son corps écrasait le mien, comme un cheval mort, a dit le poète. Sa poigne solide maintenait fermement mes poignets captifs. J'ai senti le bout de son pénis s’insinuer dans la fente de ma chatte.
Mon cerveau divaguait quelque part entre la panique absolue et la luxure totale. Sa bite a trouvé l’entrée, entre les lèvres de ma chatte. Je me suis éloignée, mais cela l’a enduit de mes jus copieux. Sa bite a suivi le mouvement, et s'est insérée dans mon ouverture. J'étais à bout de force, sous l'emprise d'une émotion primitive. De la peur, du désir. Peut-être autre chose d’inavouable. Il a de nouveau glissé en moi. Cette fois, c’est moi qui a suivi le mouvement, bougeant avec lui, comme si je ...