Mon viol
Datte: 04/06/2025,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Tamalou, Source: Hds
... d’adolescents, mais celle-là sortait du lot. J'étais plutôt en colère. Au moins, j'aurais dû l'être. Je me suis levée et je lui ai dit froidement :
« Ça suffit, Thomas. Ce n'est pas une façon de s’exprimer devant la mère d’un de ses copains. Mettons fin à cette conversation immédiatement, et à l’avenir nous ferons comme si tout cela ne s'était jamais produit »
Thomas s'est levé. Il se tenait près de moi, une bonne vingtaine de centimètres de plus que moi. Sa musculature développée de nageur de compétition le faisait paraître immense. Je me suis effacée pour m'écarter de son chemin, supposant qu'il allait quitter la chambre. Au lieu de cela, il m’a attrapée à bras le corps et m'a fait basculer sur le lit. Il a suivi le mouvement et s’est laissé tomber sur moi. J’avais levé mes mains en tentant de me défendre en le repoussant, mais dans ma chute il s’est saisi de mes poignets.
Il a maintenu mes deux poignets fermement au-dessus de ma tête avec une seule de ses grandes mains. Ma robe s'était ouverte dans ma cabriole, et je me savais complètement exposée. Pourtant, je n'avais pas peur de lui. Juste contrariée. Je n'ai pas cru qu’il irait jusqu’au bout. Je lui ai dit :
« Allons, Thomas. Arrête tes bêtises. Je sais que tu n’es pas un méchant garçon. Tu vas faire quoi ? Me violer ? Non, bien sûr ! Alors, lâche-moi, que je puisse me relever »
Mais Thomas ne m’a pas lâchée. Il m’a dit : « Peut-être avez-vous raison. Peut-être que je ne forcerais jamais aucune femme, ...
... normalement. Mais si je savais que vous le vouliez vraiment ? Vous tenez tellement bien votre rôle de maman, que jamais vous ne pourrez admettre que vous désirez le copain de votre fils. Mais si je vous forçais, alors ce ne serait pas de votre faute. Vous pourriez subir et rester une bonne mère. Vous auriez lutté, mais j'étais trop fort. C'est ce que vous pourriez vous raconter »
Mon corps a réagi curieusement, comme un électrochoc frappant mes organes génitaux. J'avoue que j'étais déjà un peu excitée par ce qui s’était produit avant. Comment ne pas l'être ? J'avais été nue devant un beau jeune homme nu, depuis un bon moment. J’avais réagi comme une maman peut le faire devant le désarroi du garçon, même si j’avais ressenti quelques frissons qui m’avaient humidifiée la chatte. Pourtant, je suis assez solide pour ne rien laisser paraître. Mais quand il a prétendu vouloir me forcer parce que j’avais ce désir de soumission, il a touché une corde sensible.
Comme beaucoup de femmes, j’ai ce fantasme du viol. Cela ne signifie pas que je désire être violée. Cela signifie une perte de contrôle, abandonner toute volonté, et se soumettre à la puissance du mâle. Je détesterais être violée, mais mes fantasmes masturbatoires les plus stimulants impliquent d'être prise de force. Je sais que c'est un paradoxe, mais j’ai le droit de penser de deux manières différentes. C'est bon tant que c'est un fantasme, pas l’acte d’un salopard. Thomas voulait m'offrir un moyen de vivre mon fantasme. ...