Mon viol
Datte: 04/06/2025,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Tamalou, Source: Hds
... ne voulais pas le sentir m’échapper.
Thomas m'a percuté comme le violeur que je redoutais, enfonçant toute la longueur de son membre massif profondément dans mon corps. J'ai peut-être crié. Il s'est retiré totalement, puis il s’est aligné de nouveau, et m’a pénétrée entièrement, sauvagement. La puissance de ses plongées a provoqué une réaction violente dans mon corps, qui lui a répondu en soulevant mes fesses du lit. Mes jambes se sont enroulées autour de lui, pour l’accueillir au plus profond de moi. Il s’est emparé de mes seins comme s'ils lui appartenaient, pinçant les mamelons, les mordillant et les suçant. Je me sentais dominée, c’était troublant.
Un kaléidoscope de lumières et des sons s’entrechoquait dans ma tête. J’ai quand même essayé de reprendre le contrôle. J’ai pensé que je ne devrais pas avoir d’orgasme de cette façon. Je ne pouvais pas lui prouver qu'il m'avait si bien comprise. Mes hanches roulaient maintenant pour accompagner chacun de ses mouvements, essayant de prendre sa queue profondément en moi. Mes yeux étaient blancs, ma bouche grande ouverte, je gémissais en haletant bruyamment. Ma résolution de me maîtriser, de ne pas afficher mon plaisir, était mise à rude épreuve. J'avais trop besoin de jouir.
Il me semblait que tout mon être était centré sur cet énorme pieu qui ouvrait ma chatte, presque comme un dépucelage. Je pouvais aussi bien être vierge, puisque Thomas atteignait des endroits dont Daniel ne connaissait même pas l'existence. ...
... Soudain, mes poignets furent libres. Thomas, estimant sans doute que ma résistance était vaincue, m’avait lâchée pour saisir mon visage à deux mains, et enfouir sa langue dans ma bouche. Mes mains ne l'ont pas repoussé. Bien au contraire, elles lui ont agrippé le dos, pour le serrer contre moi en le griffant sauvagement. Mes mains étaient hors de contrôle.
Mon corps était devenu une tanière à son usage. J'ai entendu crier et j'ai compris que c'était moi. Il a enfoui son visage dans mon cou. Son oreille était juste à côté de ma bouche. Je n’ai pas pu m'en empêcher. J'ai chuchoté, puis j'ai crié : « Baise-moi, Thomas. Baise-moi fort. Jouis en moi. Fais-moi jouir. Oh mon Dieu ! Thomas, je viens ! Aaaah ! »
J'ai senti le flot de sperme m’inonder. Il a pulsé, jet après jet, au fond de moi. Je n'ai rien pu empêcher, j'ai continué de jouir, des vagues, des rouleaux d’extase. J’ai hurlé tout le temps, je le sais. Les muscles de mon ventre se sont mis à danser une gigue effrénée, se contractant et se relâchant alternativement, comme pour traire sa bite. Même sa bite une fois ramollie, ma chatte a continué de lui faire subir ce traitement. Les répliques de cet orgasme titanesque ont duré longtemps, trop longtemps pour qu’il puisse ignorer que j’étais sa chose, à présent.
Soudain, la pièce redevint silencieuse, mes oreilles ont cessé de bourdonner, et j'ai repris le contrôle de mon corps. Je l’ai repoussé fermement, et son pénis ramolli a glissé hors de moi, entraînant un flot de ...