Canicule
Datte: 02/06/2025,
Catégories:
ff,
campagne,
fist,
zoo,
consoler,
lesbos,
Auteur: Iovan, Source: Revebebe
... aussi… !
Lizbeth enduit l’œillet froncé de sa compagne, puis dépose le gel froid, au creux de sa main. Elle rassemble ses doigts en coupe, et en introduit les premières phalanges, dans l’orifice de sa belle compagne. Doucement, elle pousse sa main en avant, qui progresse, avec une étonnante facilité, dans le fourreau lisse et doux de la belle, qu’elle entend soupirer… ses jointures viennent buter sur les sphincters de Tala.
Elle donne alors un mouvement tournant à son poignet, qu’elle accompagne de brefs à-coups répétés. Tala gémit.
— Je te fais mal, amour… ?
— Non… Encore… Continue ! râle-t-elle.
Pour Lizbeth, c’est une véritable jouissance érotique et esthétique, que de voir sa main distendre la délicate armille, et s’enfoncer entre les somptueuses fesses de sa belle amie.
— Vas-y, chérie… Plus fort… Oooh ! Encore… ! Je… je vais jouir… !
Alors, Lizbeth, d’une poussée plus appuyée, fait enfin céder les sphincters de la belle et, les jetant toutes deux dans une jouissance simultanée, la main de Lizbeth s’enfonce aux tréfonds du ventre de Tala, qui hurle sa douleur et sa volupté.
Alors, tendrement, avec la plus grande des douceurs, Lizbeth ramène sa main, pour l’enfoncer à nouveau, lentement, profondément, hébétée de jouissance, dans l’intimité soyeuse de sa belle maîtresse. Tala se cambre, se tord, ses orgasmes se répètent, au gré de la main de Lisbeth, qui flue et reflue en elle. Elle gémit, râle éructe, supplie… elle n’en peut plus de jouissance, ...
... qu’elle hurle jusqu’à s’effondrer, vaincue.
Doucement, avec des précautions amoureuses, Lizbeth ressort sa main, de l’antre de la belle suppliciée.
Elles sont allongées, l’une contre l’autre, enfin apaisées. Elles s’embrassent, se caressent, se touchent, de leurs regards émerveillés, s’imprégnant l’une de l’autre, prolongeant dans une infinie douceur, toute la violence et le bonheur, de la volupté qu’elles viennent de se donner.
Ses beaux yeux embués de larmes, Lizbeth murmure :
— Ooh… ! Ma Tala, que j’ai eu de plaisir ! Oh ! Merci ! Merci ma chérie… ! Comme c’est bon… ! Jamais je n’ai ressenti quelque chose de semblable. Je n’avais jamais joui comme ça ! … Ça fait longtemps que tu le fais ?
— C’est la première fois… Je voulais que ce soit toi ! Avoue Tala, confuse.
Lizbeth marque une surprise, une incompréhension…
— Mais… tu m’as dit… ?
— Oui… Un pieux mensonge. Tu ne m’en veux pas ? Je voulais absolument que tu le fasses. Je ne voulais pas risquer que tu me le refuses… et puis… Je savais que tu pouvais le faire… J’ai déjà pris…
Elle hésite, s’interrompt…
— En fait… Écoute, tu me connais maintenant ! Je vais te parler comme à une amie.
— Tala, je suis plus que ton amie. Je t’appartiens… Je t’aime !
Tala regarde intensément Lizbeth. Elle lui sourit.
— Merci, Trésor ! Je t’aime aussi… Ce que je vais te dire, je n’en ai pas honte. Au contraire. J’en suis heureuse et fière, j’ai même parfois envie d’aller le crier sur les toits.
Elle laisse un long ...