1. Canicule


    Datte: 02/06/2025, Catégories: ff, campagne, fist, zoo, consoler, lesbos, Auteur: Iovan, Source: Revebebe

    ... !
    — Ma chérie… Tu es si douce… Tu as un goût exquis…
    — Déshabille-toi, amour… je te veux nue, toi aussi… Viens !
    
    Tala ôte ses bottes et s’agenouille sur le lit, déboucle son lourd ceinturon, pendant que Lizbeth commence à déboutonner le gilet de cuir.
    
    Elle contemple les beaux seins lourds et fermes de sa maîtresse. Elle les caresse, y plonge son visage, les lèche, en suce les mamelons, durcis par le désir. Tala embrasse les cheveux blonds, prend l’adorable visage entre ses mains, baise les jolis yeux, la tendre bouche de sa belle amante, alors que celle-ci hasarde une main vers le sexe de son amie, qu’elle effleure d’une main timide.
    
    C’est une première fois pour Lizbeth, et même si elle est émerveillée par les premières émotions que lui procure cette expérience, elle n’en est pas moins impressionnée, et n’a pas les audaces de sa compagne, qui, c’est certain, n’en est pas à son coup d’essai.
    
    Tala est nue, maintenant. Elles sont à genoux sur le lit, face à face, enlacées, magnifiques : Lizbeth, toute en blondeur et en fragilité, Tala en brune amazone altière. Elles sont deux facettes d’une même splendide féminité.
    
    D’un geste, Tala renverse sa conquête sur le lit, enserre ses poignets, la maintenant sans effort, et s’approche lentement de Lizbeth, qui ferme les yeux dans l’attente délicieuse, du contact de la belle bouche charnue avec ses lèvres… contact que la belle amazone diffère, l’effleurant à peine, la faisant gémir d’impatience. Lizbeth tend sa bouche et ...
    ... sa langue, offerte au baiser qu’elle appelle, derrière ses paupières frémissantes, ses yeux se révulsent, et c’est dans un râle, qu’elle accueille enfin, la bouche tendre, qui la comble de sa douceur conquérante.
    
    Tala se couche, tout contre la peau satinée de son amie, qu’elle embrasse encore gémissante, elle caresse les petits seins palpitants, le galbe lisse de sa hanche, la douceur de son ventre, effleure le tendre petit con, qui ruisselle sous ses doigts. S’immisçant dans la raie de ses fesses, Tala laisse ses doigts glisser sur la mignonne rosette engluée de mouille de la jolie Lizbeth, elle les pousse doucement sur son anneau… les fait pénétrer… La belle a un cri de surprise, mais immédiatement, ouvre ses cuisses, et écarte ses fesses, et s’emparant du poignet de son amie, le pousse vers elle, dans un râle, lui réclamant d’être pénétrée, plus fort encore.
    
    Tala réunit alors quatre doigts, et doucement, par légers à coups, distend le charmant anneau de sa compagne, au point de les lui faire accepter jusqu’aux jointures. Lizbeth hurle de jouissance, en même si elle sent irradier la douleur, mais c’est elle qui réclame :
    
    — Oooh ! Oui… ! Encore… Oui… ! Continue, chérie… !
    
    Tala, qui jouit, d’entendre son amante exulter de la sorte, sous sa brutale caresse, continue son intrusion, mais maîtrise son excitation : elle ne veut pas causer trop de douleur à sa tendre chérie, et ne veut surtout pas la blesser… elle se sent pourtant emportée par un torrent de désir, qui ...
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