Canicule
Datte: 02/06/2025,
Catégories:
ff,
campagne,
fist,
zoo,
consoler,
lesbos,
Auteur: Iovan, Source: Revebebe
... lui ferait commettre les pires folies…
Elle poursuit son âpre caresse, jusqu’à sentir que son amante ressent une douleur si intense, qu’elle supplante le plaisir. Alors, elle retire doucement ses doigts du fourreau de la belle, et les lui enfonce dans la bouche. Lizbeth se saisit, à ce moment, de la main, dont elle suce et lèche les doigts, avec des geignements salaces de délices.
Après avoir, à nouveau, embrassé son amante, ronronnante de plaisir et de lubricité, Tala vient se placer au-dessus d’elle, jambes écartées, immédiatement, Lizbeth avec un gémissement, enfouit sa bouche entre ses jambes, et, appuyant sur la nuque de la belle brune, l’enjoint de lui prodiguer la même caresse.,
Lizbeth n’a jamais pratiqué cela… Elle jouit de sentir la langue experte de sa maîtresse la fouailler, la lécher, titiller son bouton, et se laisse d’instinct aller. Elle lèche la chatte moelleuse et ruisselante de Tala, un peu désorientée, tout d’abord, mais très vite, s’enivre de son parfum, goûte avec délices la cyprine, qui lui inonde la bouche, coule sur son menton, elle mordille le clitoris, suce les nymphes, agace de ses dents, les lèvres du tendre fruit juteux… et finit par faire jouir Tala, qui, se redressant, se cambre et dans un râle profond, récompense son amante d’un flot de cyprine, que celle-ci avale, comblée.
Apaisées, elles se sont couchées sur le côté, se murmurent des mots tendres, se caressent, et s’embrassent tendrement, les yeux, la bouche, le ventre, le ...
... sexe… Elles ne sont que, douceur et impatience attentive à l’autre.
Lizbeth, émerveillée, n’est pas rassasiée, elle écarte les cuisses, et enjoint Tala de venir sur elle, et la charmante bacchanale de reprendre, accompagnée de soupirs, de geignements et de râles.
Tala, qui a repris la même position, au-dessus de Lizbeth, se saisit de la main de sa compagne, et l’approche de sa jolie rosette brune, luisante de mouille :
— Fais-moi… ce que je t’ai fait !
Lizbeth comprend immédiatement. Ce que lui demande sa ravissante maîtresse la jette dans un état d’excitation intense, elle suce son médius, et l’enfonce doucement dans son antre. Celle-ci se cambre, et lui ordonne :
— Trois !
Lizbeth ressort son médius et y joint l’index et l’annulaire.
Elle embrasse la tendre rosette, y darde sa langue et y dépose sa salive, puis doucement, enfonce les trois doigts réunis dans le doux fourreau de son amante, qui se cambre et se tend, vers la puissante caresse. Elle râle doucement… Lizbeth elle aussi geint d’excitation, au spectacle de ses doigts pénétrant et rudoyant l’antre moelleux de sa douce amie.
Tremblante d’excitation, Tala se redresse, se lève, chancelante, ouvre la table de chevet, à côté du grand lit et y prend un flacon qu’elle tend à Lizbeth… Un lubrifiant.
Tala l’embrasse, se met à quatre pattes sur le lit, haletante :
— Mets-moi… ta main… !
— Tu l’as déjà fait… ?
— Oui, vas-y… ! N’aie pas peur !
— Oui, chérie… !
— Mets-en beaucoup ! … Sur ta main ...