1. Jouissances et soumission


    Datte: 26/05/2025, Catégories: fff, douche, fsoumise, fdomine, soubrette, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation caresses, Oral fdanus, fouetfesse, orties, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... intime Maîtresse Bénédicte à celle-ci.
    
    Des globes pleins et leurs longs tétons épais remplacent les nichons ronds et leurs fins tétons bruns dans mon champ de vision, en même temps que j’entends un jappement aigu. Mais je ne me préoccupe pas de connaître les raisons de ce cri, trop occupée que je suis dans la seconde suivante à retenir les miens.
    
    Maîtresse Bénédicte cingle ma vulve dolente avec méthode et application. Des feuilles se détachent des tiges d’orties à chaque coup asséné. La grâce de leur envol ne peut, hélas, me détourner de la sensation d’embrasement qui s’empare de plus en plus durement de mes lèvres vaginales et en multiplie l’irritation à m’en faire pleurer. Ce qui, de fait, est le cas !
    
    La fin de la punition n’est pas un soulagement, la démangeaison continue et me semble empirer. Tout mon sexe est enflammé, je refrène à grand-peine mes plaintes. Mes jambes sont libres, mais je n’ose bouger ni me gratter sans en avoir reçu l’autorisation. Et pas le moindre souffle d’air dont je puisse espérer la caresse, sinon celui des rires qui se succèdent en contemplant l’éclosion des cloques sur les replis rougis d’une chatte malmenée.
    
    Maîtresse Colette l’observe à son tour, pensivement, avant d’écarter délicatement les petites lèvres. Ce simple attouchement me fait sursauter.
    
    — Regarde Marie, si tu n’y mets pas plus de nerf, tu ne peux pas satisfaire une vicieuse comme ta chérie. Un bon traitement aux orties, rien de tel pour exciter une grosse cochonne ...
    ... ! Regarde, répète-t-elle en agitant durement mes nymphes.
    — Oooooh… Oooooh… Oooooh… gémis-je affolée de honte plus que de douleur.
    
    Certes, celle-ci est vive, mais le bruit humide qui l’accompagne me mortifie davantage d’avoir mouillé sans m’en apercevoir. La vérité n’est pas facile à admettre, même quand on pense mieux se connaître, encore moins dans un jeu dégradant, quoique librement accepté. Toute souffrance m’exciterait donc telle, ou est-ce l’exhibition, voire l’humiliation ? Mais si je trouve du plaisir, dans l’une ou dans l’autre, n’importe, pourquoi le refuser ?
    
    Avec l’esprit aussi tourmenté que la chatte, j’essaie en vain d’éclaircir mes idées sans pour autant réussir à faire abstraction des ondes prégnantes qui montent de mon ventre. Même le mot magique ne me vient pas, alors comment pourrais-je m’intéresser aux propos qui s’échangent près de moi.
    
    — Il reste des feuilles sur ton bouquet, Béné. Je peux m’en servir ?
    — Mais bien sûr Colette ! Tiens, ma chérie.
    — Merci, ma douce. Marie, ma puce, tu pourrais tenir les mains de notre cochonne ?
    — Oui… Maîtresse… Colette.
    — Veux-tu de l’aide, ma chère Colette ?
    — Volontiers, Andréa ! Prends la jambe gauche, Béné se chargera de l’autre pour garder cette vilaine vicieuse bien ouverte.
    
    À nouveau, on me manipule, on m’immobilise, on m’écartèle. Je m’en fiche. Maîtresse Colette veut sans doute punir elle-même ma moule obscène. Je vais encore recevoir le fouet d’orties, j’y suis résignée. Je ferme les yeux sur ...
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