1. Jouissances et soumission


    Datte: 26/05/2025, Catégories: fff, douche, fsoumise, fdomine, soubrette, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation caresses, Oral fdanus, fouetfesse, orties, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... moi, c’est un bonbon qui pointe, incarnat et durci, s’extirpant tant qu’il peut de sa capuche rose, prêt à être gobé, câliné et brouté. Entre mes fesses aussi pointe toujours la langue, ou même deux, je crois, car les attouchements n’ont pas le même rythme. Suis-je objet d’un concours ? Est-ce mon cul la cible ? Je m’en fiche ! L’acte m’est agréable, mais mon but est ailleurs.
    
    J’abandonne la fente, je suce le clito, le tète, le mordille, l’aspire et le cajole, déclenchant tout là-haut des plaintes et des soupirs, des râles de plaisir. Puis d’un coup le silence, à peine un bruit mouillé et des chuintements qui m’étonnent. En reprenant haleine, je porte mon regard sur un tableau charmant : un visage se perd entre des cuisses pleines. Sans quitter de ses doigts le téton qu’elle presse, Andréa chevauche fièrement le minois de Marie. Et celle-ci la bouffe, il n’y a pas d’autre mot !
    
    Janine qui se branle en masturbant un sein, Andréa gougnottée et pratiquant de même, Martine et Bénédicte partageant mon anus et se branlant aussi entre deux léchouillis, ma bouche barbouillée de cyprine mariale, l’héroïne du soir gougnottée gougnottant, il nous manque Anaïs et Colette pour compléter la scène ! Mais ces deux-là, c’est sûr, sont bien trop occupées à découvrir leurs corps, et pour la benjamine les charmes de Lesbos.
    
    J’apprécie les caresses qui flattent ma rosette, et, surtout, l’obligeance de ne pas réveiller ma chatte pantelante. Je peux me concentrer sur la jeune craquette ...
    ... qui demande des soins plus hardis que la lèche. Et quand je dis hardis, je dois être timide ! Cette vulve qui bâille réclame plus qu’un doigt. Deux lui sont peu de choses, mais avec trois peut-être ? Eh bien non, c’est quatre qu’elle en veut, la coquine ! J’ai peur de faire mal, mais ils entrent tout seuls.
    
    Cette mouille si fluide lubrifie comme l’huile. Mes doigts s’enfoncent en elle à longueur de phalanges, ressortent et reviennent, arrachant des sursauts au bassin trop gourmand, et des jaillissements à la vulve trop pleine. Les cuisses sont mouillées, les poils sont inondés, mon poignet en reçoit tant et plus que le drap. Tant pis, je continue à pistonner le con de ma tendre Marie, qui, d’ailleurs, continue à mordre dans les chairs goûteuses d’Andréa dont le ventre s’agite voluptueusement. Mon cul est délaissé, ça n’a pas d’importance. Je ne suis pas la star de cette scène, obscène et émouvante, de plaisirs débridés et d’amour partagé.
    
    Un genou de Marie voisine avec ma tête. Puis l’autre, symétrique, me donne la raison de l’abandon soudain de ma frêle rosette. Martine a pris un pied et Béné son jumeau, dévorant les orteils comme autant de bonbons. Elles lèchent, elles sucent, elles gobent, faisant dix clitoris de ces petits mignons. Celui qui m’intéresse est hors de ma portée si je cède à l’envie du charmant troufignon qui appelle mon doigt. Ma main gauche s’active au conin débordant. Son pouce serait libre, mais trop brutal sans doute pour aller trifouiller un conduit ...
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