Quelques moments de bonheur
Datte: 26/05/2025,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
campagne,
fsoumise,
Oral
fsodo,
mélo,
portrait,
regrets,
Auteur: Abdul, Source: Revebebe
... connaissance de mon état, il piqua une colère noire et je crus qu’il allait me frapper. Mais il se calma assez vite, et après m’avoir longuement examiné avec une grimace libidineuse, il se montra beaucoup plus prévenant. Il sortit une bouteille de liqueur de son buffet et nous servit une petite goutte.
— Écoute, me dit-il, ce n’est pas la fin du monde, je vais bientôt passer le cap de la quarantaine et c’est peut-être l’une des dernières occasions pour moi de devenir père. Alors, si tu es d’accord pour garder l’enfant, tu n’as qu’à venir vivre avec moi.
Je me disais qu’il était encore temps d’avorter et que j’étais bien jeune pour fonder une famille, mais je vis aussi l’opportunité de quitter un père de plus en plus acariâtre, et quelques jours plus tard, j’acceptai la proposition de Richard.
Lorsque je me rendis chez lui pour lui faire part de ma décision, il fallut moins d’une heure pour que je me retrouve dans son lit où il me baisa comme un lapin. Satisfait après avoir joui, il se lança dans une explication scabreuse pour me mettre en garde contre les risques pour le bébé que sa mère ait des rapports sexuels pendant la grossesse et il décida que dorénavant il serait préférable que nos relations se limitent à la sodomie.
Bien sûr, j’étais tout aussi vierge du cul que je l’étais de la chatte avant de le rencontrer, mais je crus ce que Richard me racontait. C’est pourquoi, bien que je n’y éprouvai aucun plaisir, j’acceptai de faire selon son bon vouloir et tous ...
... les jours qui suivirent jusqu’à la semaine précédant l’accouchement, je laissai Richard me posséder analement. Il tenait aussi à ce que je le suce avant la pénétration pour le mettre dans de bonnes dispositions et lubrifier sa queue. Et si après quelques minutes à me labourer le fondement il ne parvenait pas à jouir dans mon cul, il fallait que je le prenne à nouveau entre les lèvres pour qu’il se finisse en me baisant la bouche.
Je vivais donc chez Richard depuis plus de six mois, effectuant les tâches ménagères du foyer et lui servant quotidiennement de vide-couilles. Le moment de mon accouchement approchait. J’étais parfois nauséeuse et toujours fatiguée, mais malgré cela, Richard ne m’aidait jamais dans les travaux ménagers. Je continuais aussi à aller à pied faire les courses au marché et dépenser la maigre somme qu’il m’attribuait chaque semaine. Systématiquement, il me réclamait la note des courses pour être certain que je ne dépensais pas d’argent dans son dos.
Lorsque le bébé vint au monde, je n’eus guère le loisir de me reposer. Heureusement, Josette, le même prénom que celui de la mère défunte de Richard, était un nourrisson facile à vivre et je n’avais pas de difficulté particulière pour l’allaiter.
Lorsque notre petite fille eut atteint l’âge de six mois, ma vie avait, depuis bien longtemps, pris un cours aussi déprimant que monotone. Richard se vidait toujours les couilles quotidiennement dans mon cul. Il avait en effet décidé que le meilleur moyen de ...