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AIRE DE REPOS(2) : Pendant que ma femme dort.
Datte: 26/05/2025, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: DeeWar, Source: Hds
... de pipe. Mes lèvres coulissent ensuite sur son manche bien long et s'attardent sur ses boules prisonnière du tissus. Il commence à gémir. J'ôte son ceinturon de cuir et dézippe sa braguette pour découvrir un boxer noir bien rempli. Il sent bon. On devine que c'est un homme raffiné qui prend soin de lui. - Montre-moi tes talents de suceur. Je crains de le décevoir car en principe c'est moi qui me fait pomper. Mais sa queue me fait saliver. Sans plus attendre, je la prends en bouche. Elle est longue, presque 20cm, avec de grosses veines bleues qui remontent jusqu'au gland. Il me complimente, trouve ma bouche accueillante et en profite pour s'enfonce encore un peu plus. Au fond de lui, il n'a jamais douté de son statut de maître dominant et je comprends vite que je suis là uniquement pour l'aider à se vider les couilles. Son chibre se dresse dans toute sa virilité. Un vrai sexe reproducteur. Je m'applique à en gober le maximum. Je titille son dard puis glisse sur sa tige et ses couilles. Il me saisit alors par les cheveux et m'oblige à une gorge profonde. J'étouffe un peu. Mon nez est plongé dans ses poils noirs. Je commence à suffoquer. Il le voit et relâche la pression. Très excité, le gars commence à me biffer avec sa queue pour me laisser le temps de reprendre mes esprits. Il m'oblige à ouvrir la bouche et replonge au fond de mon gosier. Je le suce tout en caressant son torse velu sous la chemise. Je le regarde en même temps. Il me fixe de ses beaux ...
... yeux noirs de manière autoritaire. Il me fait clairement comprendre quelle est la place de chacun. Il est le boss et j'ai tout intérêt à lui obéir. Cette situation nouvelle pour moi décuple ma frénésie. Plus rien n'existe en cet instant, ni le danger d'être surpris, ni ma femme à quelques mètres d'ici, ni mes gosses... Je me découvre salope soumise et j'aime ça. Je redouble d'ardeur. Je sens sa queue de plus en plus dure et tendue. Il n'est pas loin de l'explosion. Après quelques va-et-vient brutaux qui me déboîtent la mâchoire, mon beau représentant m'immobilise. Il se raidit et lâche un premier jet crémeux que j'avale tant bien que mal. D'autres, moins abondants me remplissent la bouche. Ça doit faire des jours qu'il ne s'est pas vidé, tant sa semence est abondante. Mes lèvres débordent de son foutre. Le liquide chaud et gluant me coule sur le menton, le long du cou... J'entends soudain que l'on m'appelle. - Papa, t'es-là? Ils viennent d'arriver. C'est mon fils. Pris de panique, je me redresse et passe la tête par la porte que je viens d'entrebâiller. Je tente de paraître naturel même si j'ai les joues en feu. - J'arrive, mon grand. En sortant des pissotières, j'ai juste le temps de me rincer la bouche pour m'enlever ce goût de sperme que déjà Sarah s'approche de moi. - Hello, Adrien! On arrive à l'instant. Elle me fait la bise puis se recule, pointant un doigt interrogateur sur le haut de mon T-Shirt. - C'est quoi toutes ces tâches ...