1. AIRE DE REPOS(2) : Pendant que ma femme dort.


    Datte: 26/05/2025, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: DeeWar, Source: Hds

    ... sombres. Il me force à ouvrir la bouche et à les sucer. J'ai un haut- le-cœur, je crois vomir, mais déjà je sens son gourdin forcer mon sphincter. Il pointe le gland, puis d'un coup de reins puissant, s'enfonce dans mes entrailles jusqu'aux couilles.
    
    Je ne peux m'empêcher de gueuler à mort tant la douleur est intense. Il me dit de baisser d'un ton. Il en a de bonnes, lui. Je viens de me faire exploser le fion pour la première fois et il voudrait que je lui chante la Traviata!
    
    Il pose ses mains fines sur mes hanches et me ramone le cul à toute vitesse. À chaque mouvement, il sort intégralement sa bite et la replonge aussitôt. Chaque enculade m'arrache un brame de douleur. Il me pilonne le cul encore un bon moment puis se retire et s'écarte un peu.
    
    - Mets-toi à quatre pattes.
    
    Bon sang, cette petite frappe va me rendre fou. Il est en train de dresser un dom. De me faire passer de l'autre côté de la barrière. Il brise une à une mes dernières résistances. D'habitude c'est moi qui ordonne, moi qui impose ma loi, moi qui domine mes partenaires mais aujourd'hui, il a bien compris que je ne suis pas en état de lui résister.
    
    je suis trop en manque de queues pour faire le difficile et il en profite un max.
    
    J'obéis sans me faire prier. Je suis maintenant dans la même position qu'une chienne en chaleur, prête à être fécondée. Le cul offert à sa convoitise. Je sens mon jeune beur s'installer au dessus de moi, une jambe de chaque côté de ma croupe.
    
    Je suis rouge de ...
    ... honte. J'ai la même attitude qu'un soumis. Je baisse la tête et constate avec effroi que mon sexe est dressé à l'horizontale.
    
    Il glisse entre mes fesses et sa queue vient me perforer à nouveau. Cette fois, la pénétration est moins douloureuse, je ressens même du plaisir à me faire remplir. Je tends mon cul au maximum à la rencontre de son énorme pieu. Je ne peux le voir mais je le sais excité vu la façon dont il me pilonne.
    
    - Ouais, c'est bon. Tu vois, j'ai fini par te le prendre ton boule.
    
    Je ne dis rien. Je me pince les lèvres pour ne pas hurler de plaisir. Il a encore accéléré le rythme. Ses mains pèsent sur mes épaules et son bas-ventre claque contre mes fesses.
    
    Je sens ses cuisses contractées contre mes flancs. Sa queue commence à s'agiter, prise de soubresauts. Il respire fort, proche de l'extase.
    
    À cet instant, des pas résonnent près de nous. Je me redresse tant bien que mal. Mon jeune arabe est ressorti, le sexe pantelant. Il grogne de frustration. Mais hors de question que l'on remette ça. J'ai eu la peur de ma vie. Et puis ma femme doit se demander ce que je fabrique.
    
    Je le plante là, la queue entre les jambes et dévale le talus en direction de ma voiture. Hélène est réveillée et consulte ses mails.
    
    - Dis-donc, où étais-tu passé? On commençait à s'inquiéter.
    
    Je jette un coup d'œil à la banquette arrière. Nos deux mioches n'ont pas décollé le nez de leur tablette. Mon fils me fait juste un signe de la main quand je rentre dans le véhicule.
    
    - ...
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