AIRE DE REPOS(2) : Pendant que ma femme dort.
Datte: 26/05/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: DeeWar, Source: Hds
AIRE DE REPOS (2) : Pendant que ma femme dort.
Nous sommes bloqués sur une aire d'autoroute dans le sud de la France, entre Montpellier et Nîmes. Marc et Sarah viennent d'appeler pour prévenir qu'ils auront du retard. Ils sont pris dans les bouchons et pensent nous rejoindre dans deux heures. Ensemble, nous devons rallier Bandol pour prendre possession de notre location estivale.
Mon épouse est fatiguée, elle a conduit tout le trajet. Elle incline le siège conducteur et décide de s'octroyer une sieste bien méritée. Je me retrouve comme un con dans la voiture, à attendre nos amis.
Je vois soudain un jeune rebeu sortir des toilettes et monter le talus qui mène à la pinède. Il paraît jeune, autour de la vingtaine. Il porte un bas de survêtement blanc et un sweat à cagoule qu'il rabat sur le visage en passant devant notre véhicule. Je ne suis pas certain qu'il m'ait vu, mais moi par contre, je l'ai bien maté.
En plus, je sais où il va. Il se rend dans le petit bois à la recherche d'une bonne baise.
Vous vous demandez comment je peux savoir tout ça? Je vous répondrais que malgré mes quinze années de mariage, j'ai toujours été attiré par les hommes. Je connais bon nombre de lieux de drague, surtout les aires d'autoroute. Et des petites frappes comme celle qui vient de passer ont souvent servi de défouloir à mes envies de défonce.
Je le vois disparaître dans le bosquet. Mon sang ne fait qu'un tour. Mes instincts de prédation se réveillent et aussitôt ma queue ...
... se redresse fièrement dans mon bermuda.
Elle vient de repérer sa proie!
Putain, l'occasion est trop belle. Surtout que je vais devoir me passer de mecs durant un mois entier.
Je regarde ma femme. Elle dort profondément. Je me retourne et annonce à ma fille de 12 ans et mon fils de10 que je sors me dégourdir les jambes. J'ai une peur bleue qu'ils décident de m'accompagner mais ils sont trop occupés à jouer sur leur console.
Une fois dehors, je m'empresse de franchir la barrière et m'enfonce dans le bois. J'avance prudemment. Tout semble calme. Aucun bruit, à par le chant des cigales. Bon sang! Je l'ai perdu, c'est bien ma veine. Je tousse un peu, me racle la gorge pour signifier ma présence...
Soudain, il me semble entendre un craquement de brindilles. Je m'aventure dans un petit sentier et ne tarde pas à tomber nez à nez avec mon beau maghrébin. Il a ouvert son sweat et laisse voir un torse mince et lisse. Il se pince un téton tout en malaxant sa queue à travers son survêt. Il est mignon, le visage fin, des yeux noisette et une peau sombre qui contraste avec le blanc de sa tenue. Il m'allume carrément en passant le bout de la langue sur ses lèvres. Ce doit être une bonne suceuse. Tout ce que je recherche. Et puis, si je peux le fourrer...
J'hésite un peu. Il ne faudrait pas que mes enfants m'appellent ou pire, que ma femme se pointe.
Il me fait signe d'approcher. Mon besoin de baise est trop fort. Je m'avance. Une fois à sa hauteur, il m'agrippe direct ...