1. Noémie la renifleuse de queue à la FAC - Partie 1 - BRANLETTE ODORANTE SUR LES BANCS DE LA FAC


    Datte: 26/05/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: SMART77, Source: Hds

    ... chienne ?
    
    J’appuyai un peu plus fort et constata que sa grosse queue durcissait sous la pression de mes doigts et de l’odeur de ma chatte sale. J’entamai une douce branlette sous son pantalon.
    
    — Ummm.
    
    — Tu aimes que jte branle ?
    
    — J’adore.
    
    — Mets des doigts dans ma chagatte.
    
    Il rentra son majeur dans mon trou inondé pendant que je le branlais. Je tirai bien la peau en bas pour el faire frémir.
    
    — Tu es douée petite salope
    
    — Merci.. Je vais te faire cracher, tu veux ?
    
    — Oh oui
    
    — Sors là.
    
    Il leva ses fesses pour tirer son jean et j’en profitai pour amener ma main sous ma bouche et y laisser couler un jet de salive avant de retourner sous le pupitre. Je caressais sa bite doucement, puis de plus en plus vite. Je mouillais de le voit se crisper sur sa place en fermant les yeux. Je tordais sa queue, la décalottait, remouillait mes doigts pour bien les glisser sur son chibre tendu Il se mordit les lèvres tellement il était prêt-à-exploser sous mes caresses obscènes.
    
    — Elle est bien dure ta bite. J’adore. Tu va gicler ton jus hein…
    
    — Oh oui, tu es une sacrée bonne branleuse
    
    — J’adore branler une bonne bite, mais tu verras je suis aussi une très bonne suceuse. Imagine quand je vais avaler ta grosse queue…
    
    — Tu vas lui faire quoi ?
    
    — Je vais te la bouffer, la prendre au fond de ma gorge, la faire jouir dans ma bouche de putain…
    
    J’affichai un air vicieux et accéléra le mouvement tout en serrant son barreau. Je le secouai de plus en ...
    ... plus vite. Je sentais la sueur perlée sous mes bras. Sa respiration s’accéléra et ma chatte n’en finissait plus de couler. J’osai me pencher pour flatter ses grosses couilles tout en agitant la peau sur son gland épais.
    
    — Umm des bonnes couilles pleines.
    
    — Ça vient, prévint-il en serrant les dents.
    
    — Vas-y donne ton sperme, allez vas-y donne cochon.
    
    J’accélérai mon geste alors qu’il plaça sa main devant sa bouche, se contracta et dans un gémissement étouffé je sentis un liquide chaud et épais couler entre mes doigts. Ça n’en finissait plus, il semblait crémeux et coulait en abondance. La cyprine, elle, s’échappait e mon string pour laisser une trace sur mon banc. Je continuai à aller et venir doucement sur son membre qui se ramollissait avant de porter mes doigts à mes lèvres pour gouter son exquise semence.
    
    — Ummm un délice. La prochaine fois je boirai directement à la source.
    
    — Avec plaisir
    
    — Ce soir après les cours, aux toilettes du 5em. J’ai l’habitude.
    
    Le beau brun sourit et s’exclama tout doucement
    
    — C’est donc vrai. Il y avait une rumeur sur une pute qui taillait des pipes là-haut.
    
    Je pris peur de me savoir démasqué, mais personne ne connaissait la véritable identité de la petite suceuse de bite qui ouvrait en cachette dans les toilettes de la FAC.
    
    Je n’avais pas lâché sa bite devenue molle et passais mes doigts bien partout pour répandre son jus des boules jusqu’à la hampe.
    
    — Tu ne la laves pas, laisses le sperme comme ça. T’égouttes ...