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Noémie la renifleuse de queue à la FAC - Partie 1 - BRANLETTE ODORANTE SUR LES BANCS DE LA FAC
Datte: 26/05/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: SMART77, Source: Hds
Bonjour à tous, Je m’appelle Noémie j’ai trente-cinq ans et je suis ici pour vous relater toutes mes frasques sexuelles que j’ai vécues et que mon mari m’impose de livrer pour son plus grand plaisir. Plus âgé de treize c’est un véritable obsédé et il aime m’utiliser ou me prêter à des vieux pervers. Ma spécialité ? Tailler des pipes. Mon péché mignon ? Les bonnes odeurs de bites sales ! Aujourd’hui je vais vous raconte une histoire qui m’est arrivée sur les bancs de la fac. Noémie la renifleuse de queue à la FAC Partie 1 BRANLETTE ODORANTE SUR LES BANCS DE LA FAC Je venais de fêter ma majorité. Mes cheveux bouclés blondis par le soleil me tombaient sur les épaules. Je portais une jupe en denim au-dessus de mes genoux et un petit top qui moulait mon 90B bien galbé avec un décolleté qui attirait le regard de beaucoup d’hommes. Avec mon visage nacré et mes yeux couleur océan, j’avais des airs de fille sage. En réalité, j’étais une véritable salope. Depuis longtemps, je suçais des queues et me faisais baiser par des garçons, la plupart du temps, bien plus vieux que moi. Pour mon plus grand plaisir, une bite d’une trentaine d’années m’avait pris mon pucelage. Parfois j’allais même jusqu’à coucher avec des amis de mon père. À la FAC j’avais quelques habitués. Je m’arrangeais toujours pour choisir des beaux gosses en couple pour éviter qu’il me fasse mauvaise réputation. Un jour j’étais assise à côté de Stéphane, le beau mec du campus. Un grand brun ...
... ténébreux au regard noir et profond. Lui aussi me prenait pour une jeune fille prude et studieuse. Je l’étais en effet, mais avec ma langue de salope aussi. Il me parlait rarement, m’adressant un vague bonjour dans les couloirs. Le prof en bas de l’amphi parlait mais j’écoutais à moitié. Parfois le beau jeune homme me regardait en souriant. Personne ne se trouvait assis à côté de nous. Les étudiants se répartissaient à deux rangées de la nôtre. Nous avions toute la place, mais nous étions proches l’un de l’autre sans l’avoir cherché. Prise dans mes pensées, je sentis comme une légère odeur. Je me concentrai et je décelai un léger fumet. Je dévisageai mon voisin un instant et je reconnus les senteurs caractéristiques du sexe. Il me sourit de ses belles dents. Les effluves que je décelais commençaient à titiller mon clito. Je lui envoyai un sourire vicieux qui alerta son attention. Plus le temps passait et plus cette senteur m’émoustillait. Sans vraiment me maitriser, je m’approchai de lui lentement. Les senteurs augmentaient au fur et à mesure. Il s’étonna de me voir si près et m’interrogea du regard. Je posai alors ma main sur sa cuisse. Je la sentis ferme et musclée. Je devinai d’où venait cette odeur. La petite renifleuse de bite que j’étais la reconnaissait à des kilomètres et instantanément ma chatte se mettait à mouiller. L’étudiant ne sursauta pas et se contenta de me regarder en souriant. Je massai sa jambe puis glissa à l’intérieur. Je le caressai un peu en plantant ...