1. Noémie la renifleuse de queue à la FAC - Partie 1 - BRANLETTE ODORANTE SUR LES BANCS DE LA FAC


    Datte: 26/05/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: SMART77, Source: Hds

    ... mes yeux dans les siens. D’un coup je remontai au milieu. Cette fois il ne s’y attendait pas. Avec le tranchant de ma main je sentis une bosse qui enflait.
    
    – Ummm. Ça à l’air de te plaire on dirait.
    
    — Plutôt oui ;
    
    — Si tu veux que je continue, tu vas répondre en toute franchise à une question ?
    
    Il hocha la tête en signe d’incompréhension, mais confirma.
    
    — Depuis que tu es arrivé, je sens une odeur.
    
    — Ah oui ?
    
    — Oui une odeur de bite pour tout te dire.
    
    Il émit un rire discret, mais je le fixais d’un air sérieux qu’il le fit rougir.
    
    — Alors ? C’est bien ta queue qui pue jusqu’ici ?
    
    Maintenant gêné, il commença à rougir. Il ne s’était pas lavé le matin et il savait que sa queue sentait l’urine, la sueur et le reste de sperme de sa branlette de la veille.
    
    — Réponds, ne t’inquiète pas., déclarais-je d’un ton mielleux
    
    — Euh oui c’est possible.
    
    — Ummm. Je vais vérifier.
    
    J’appuyai sur son paquet et provoqua un soupir de ma proie. Je desserrai la boucle de la ceinture puis discrètement de mes deux mains je déboutonnai le pantalon. Je passai mes doigts à plat sur le dessus du boxer.
    
    — Ummm, tu commences à durcir.
    
    — Tu m’excites, sa…
    
    — Oui tu peux. J’aime les insultes et les mots crus.
    
    — Tu m’excites salope !
    
    — Moi ce qui m’excite c’est les bites dures et les odeurs.
    
    Je portai mes doigts sous mon nez
    
    — Ummm, ça pue. Même à travers le caleçon. Tu ne la laves pas ?
    
    — Si, mais je me suis juté dessus hier…
    
    — Miam...un ...
    ... délice…mais tu ne dois pas la laver souvent quand même pour qu’elle sente si fort. Tant mieux j’adore les bites sales et puantes.
    
    Je furetai sous l’étoffe et sentis sa peau lisse, chaude et moite. Je serrai sa queue demi-bandée.
    
    — Elle a l’air grosse dis donc.
    
    — Oui j’ai pas à me plaindre.
    
    — Je crois que je vais me régaler…
    
    J’entourai le gland de mes ongles manucuré. Il commençait à mouiller du bout et je pensai au sperme qu’il avait dû laissé sur sa bite après une bonne branlette. Je cajolai sa tige, m’imprégnant bien de ses fragrances avant de ressortir ma main. Un léger fumet s’échappa de dessous la table quand j’écartai le pantalon pour sortir ma main.
    
    — Wouaou, elle sent vraiment fort…
    
    Je me délectais de sa bonne odeur les doigts caressant mes narines de perverse.
    
    — Ce n’est pas commun. Tu es une sacrée cochonne.
    
    — Oh oui une grosse cochonne même ! Rien ne m’excite plus qu’une bonne queue qui sent fort et elle est à l’air bien grosse. Tu me fais mouiller.
    
    Je ponctuai ses mots par une forte pression sur le membre gorgé de sang à l’en faire frémir sur sa place.
    
    — Caresse ma chatte !
    
    Il glissa ses mains en s’assurant que personne ne nous regardait. Il sentit la chaleur entre mes cuisses et l’humidité qui y régnaient.
    
    — En effet tu es trempé chienne. Et toi tu pues de la chatte ?
    
    — Umm cochon tu aime ?
    
    — Je sais pas…
    
    — Vas-y vérifie alors.
    
    — Ummm. Ah oui tu pus salope. Oui ça m’excite. Tu sens comme tu me fais bander espèce de ...