Soirée bourgeoise - Deuxième partie
Datte: 24/05/2025,
Catégories:
fhh,
fplusag,
couplus,
candaul,
inconnu,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
libercoup,
Auteur: MauriceBernard, Source: Revebebe
... autofixants sombres, ses escarpins, son string et son petit soutien-gorge. Satisfaite de sa ligne entretenue et conservée au fil des années, elle sait que le spectacle qu’elle offre ainsi suffirait à tenter le diable ; aussi, elle se retourne en offrant ses reins et pose ses genoux sur le bord du canapé. Derrière elle, deux mains se posent sur ses reins, remontent vers sa taille et se glissent sous la mince ceinture du string, qu’elles font glisser le long des hanches, des cuisses, des jambes. Alors qu’elle sent la chaleur d’une bouche se poser entre ses fesses, l’humidité d’une langue dardée glisser le long de sa raie, Patricia lève un pied, puis l’autre, pour retirer complètement son inutile culotte. Elle écarte alors lentement ses jambes et offre ainsi plus encore son sexe et son anus aux caresses de l’homme qui va la pénétrer. Dans un éclair, elle pense à son amant de cœur qui doit peut-être, de son côté, en faire autant à une autre coquine mais, déjà, son attente de plaisir la ramène à sa propre aventure.
La langue de l’homme a trempé tout son cul et sa chatte et joué avec ses orifices qu’elle a assouplis et ouverts. La femme sent alors que le membre qu’elle a sucé avec tant de malice et d’adresse est dirigé vers son propre sexe et elle en découvre, dans un faible gémissement, la sensation de la pénétration, protégée hélas ! C’est toujours avec ravissement qu’elle se fait enfiler par un nouvel amant, appréciant la nouveauté de la forme qui se glisse en elle et les ...
... mouvements qui l’accompagnent. Pour manifester son accord plus franchement, Patricia recule son cul vers le baiseur afin de pouvoir sentir jusqu’à l’écrasement des couilles contre ses fesses. Complètement enfoncé au fond du sexe de la femme, l’homme cogne lentement, mais fermement, jusqu’à sentir le vagin se serrer sur son membre. Cambrée sous les mains masculines et les coups de boutoir, la belle bourgeoise vient chercher son propre plaisir en réclamant :
— Encore, encore ! Vas-y ! Baise-moi !
Elle abandonne alors sa retenue habituelle pour se livrer comme cette salope qu’elle adore révéler dans ses moments d’abandon. Au fond d’elle, le gland la branle mieux qu’un de ses godemichés et, surtout, les caresses, les baisers et les petites morsures du baiseur l’emmènent vers une jouissance plus complète que celle produite par ses jouets. Dans un grand frisson qui parcourt son ventre et ses flancs, Patricia râle son plaisir et répand, sur la bite fichée dans son ventre, la liqueur de sa jouissance.
Lentement, délicatement, le baiseur se retire, mais reste bandé, prêt à poursuivre la joute amoureuse si bien commencée. Il s’assoit à son tour sur le canapé et invite sa complice à lui enjamber les cuisses. Patricia se prête à la manœuvre en léchant la bouche, au passage, et, penchant sa tête pour bien voir son geste et l’intromission qu’elle va faire, elle saisit le braquemart dressé à la verticale et se plante dessus en râlant de plaisir. Tout en enfilant totalement le sexe au ...