Soirée bourgeoise - Deuxième partie
Datte: 24/05/2025,
Catégories:
fhh,
fplusag,
couplus,
candaul,
inconnu,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
libercoup,
Auteur: MauriceBernard, Source: Revebebe
Résumé de l’épisode précédent :
Invitée dans une soirée bourgeoise, la belle engage la « conversation » avec ses voisins de table…
Après un début de soirée bien… arrosé grâce aux abandons de ses deux voisins de table, Patricia poursuit son repas comme si de rien n’était, avec l’apparent détachement d’une élégante bourgeoise à l’allure distinguée. Elle n’apprécie rien de plus que cette ambiance dans laquelle son charme coquin, conservé et amplifié par les années, agit sur les hommes… et certaines femmes. Elle sait combien elle peut séduire, puis partager ses envies de libertine assumée, jusqu’à s’abandonner à la luxure sans tomber dans la vulgarité. Cela, elle le pratique depuis une vingtaine d’années avec et sans son compagnon d’aventure, qu’elle tient informé de ses bonnes fortunes, de toute façon.
Pour l’heure, il est très occupé, de son côté à flirter ouvertement avec ses propres voisines, ce qui incite Patricia à pousser un peu plus loin la provocation à son égard. De sa discrète jouissance et des fellations dont elle a gratifié les deux hommes, elle a gardé un besoin de plaisir qui a gonflé ses grandes lèvres et les a rendues très sensibles ; de plus, une sensation emplit son ventre et la convainc qu’il lui faut plus, autre chose, pour assouvir ses envies de baise. Elle a beau glisser discrètement ses doigts agiles et fuselés autour de son clito, tout en devisant avec ses voisins, cela ne suffit pas à calmer l’ardeur que cette soirée a fait naître au plus ...
... profond de son sexe. Aussi, quand le premier de ces messieurs lui propose innocemment d’aller prendre le café dans un salon voisin, elle accepte volontiers et se lève en plissant sa robe un peu froissée sur ses hanches minces et son petit cul, comme elle aime le nommer. Elle sait qu’autre chose va se passer et qu’elle va y prendre sa part de jouissance.
L’homme la guide courtoisement en passant une main autour de sa taille souple et en profite pour caresser franchement son flanc, jusqu’à la chute de ses reins. Là, pendant quelques pas, il laisse sa main chaude prendre la forme des fesses dont la robe ne cache ni la fermeté ni la rondeur. La belle apprécie tout particulièrement ce mélange de distinction et de libertinage et manifeste son approbation en se cambrant légèrement sous la caresse. Déjà, ils sont devant la porte du salon et son amant du moment la fait passer devant lui, avant de refermer silencieusement derrière eux. Seuls dans cette pièce aux lambris de bois sombre, éclairée par quelques lampes dorées posées sur les meubles et par les flammes de la cheminée, ils peuvent enfin se serrer dans les bras l’un de l’autre, en s’offrant un duel délicieux du bout de leurs langues. Lui, mordille au passage les petites lèvres de la bouche entrouverte et, elle, lui suçote la langue tendue, comme elle lui l’a déjà fait tout à l’heure, sous la table, sur le bout du gland.
D’ailleurs, en tendant son ventre vers celui de l’homme, Patricia ressent l’émotion qui fait rebander ce sexe ...