Soirée bourgeoise - Deuxième partie - Histoires de Sexe

Soirée bourgeoise - Deuxième partie

... dont elle a déjà apprécié, de sa bouche, la vigueur et la forme. Elle roule alors lentement son bassin pour mieux l’exciter encore, comme elle aime toujours le faire avec ses baiseurs de rencontre. Elle devine ainsi la forme dure qui tend le pantalon et elle énerve son propre sexe dont le clitoris se frotte contre cette protubérance… pleine de promesses. L’homme a relevé sa robe et caresse tout son cul, dont il apprécie la douceur de la peau et les courbes des fesses. Leurs bouches s’affolent au rythme de leur étreinte contre le bord d’un confortable et profond canapé de cuir, sur lequel la belle sexagénaire se laisse choir, tout en gardant les cuisses de l’homme entre ses deux mains.

Ses beaux yeux bleus, rieurs et coquins, fixés sur le regard de son amant du moment, elle dégrafe habilement le pantalon et fait jaillir la bite qu’elle a appréciée pendant le repas. Patricia prend alors tout son temps pour glisser une main sous les couilles déjà remplies de nouveau, jusqu’au périnée, et laisse le membre se dresser tout seul sous la caresse de ses doigts agiles. Le gland humide vient battre contre sa bouche, mais elle s’amuse à faire languir son complice, encore un peu.

— Je vous en prie, ma chère, la prie-t-il, ne me laissez pas dans cet état, vos talents buccaux sont tels que vous ne pouvez pas m’en priver plus longtemps !
— Croyez-vous, cher ami ? Voudriez-vous que je vous vide les couilles à nouveau sans que vous m’ayez baisée avant ? Certainement pas ! J’espère bien ...

... que vous allez me défoncer d’abord !

La belle bourgeoise s’amuse ainsi à jouer avec les mots et la situation, pour mélanger la distinction qu’elle affiche en toutes circonstances et la lubricité de ses envies profondes, de son tempérament de baiseuse expérimentée et très pratiquante… Mais, bonne fille, quand même, elle promène sa petite langue tout autour du bourrelet du gland, puis le long de la grosse veine, jusqu’aux couilles qu’elle tient au creux de sa main. Du coin de l’œil, elle apprécie l’effet produit en voyant l’homme se cambrer, en respirant fort. De toute façon, la raideur du sexe qu’elle masturbe délicatement suffit à lui prouver que son adresse, une fois de plus, produit l’effet désiré, mais il convient de maîtriser la jouissance de l’homme avant qu’il ne jouisse à nouveau. Pour compléter son petit jeu, Patricia tapote le gland sur sa bouche entrouverte et le gobe un tout petit peu, au passage. Son futur baiseur n’y tient plus et agrippe la tête de la femme, entre ses deux mains, puis lui en caresse les courtes mèches blanches et soyeuses. Attendrie par la douceur du mouvement, elle embouche franchement le sexe durci et le suce profondément pendant quelques secondes, tout en titillant du bout des doigts l’anus de son compagnon de luxure.

Mais c’en est trop pour l’homme et la femme comprend qu’il est temps de partager la suite des plaisirs. Elle abandonne donc sa coquine fellation, se lève et fait glisser rapidement sa robe légère pour ne garder que ses bas ...