1. Bonne élève


    Datte: 23/05/2025, Catégories: fh, hplusag, caférestau, fsoumise, revede, init, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... tire les oreilles.
    — Ha ha ! Je me demande même si ce n’est pas la faute de « Carlabosse » ! Alors c’est vrai, vous voulez toujours de moi ?
    — Plus que jamais. Tu sais, la perfection a quelque chose d’intimidant, d’inaccessible. Un petit défaut de fabrication et tu redeviens plus humaine, plus à la portée de l’homme simple que je suis.
    — C’est cela, oui, tout simple, mon Maître.
    — Oui, eh bien, justement. Cesse de m’appeler « mon maître » parce que, hors de l’école et notamment entre adultes, ce terme a une tout autre connotation, indiquant une soumission qui me paraît déplacée.
    — Désolée, mais pas pour moi. Non pas que je sois attirée par une quelconque situation sadomasochiste, mais… je ne sais pas… peut-être à cause de mes ancêtres kabyles chez qui les femmes étaient très soumises, je me complais dans cette relation de dépendance qui nous liait il y a dix ans. Elle me rassure. Mais, je vous en prie, mon Maître, continuez vos délicieuses caresses.
    
    Je poursuis, longtemps. Si ses seins sont hypersensibles, que dire de son petit bouton d’amour grâce auquel, à force de coups de langue, je parviens à l’enflammer par trois fois. Je n’en peux plus, je n’y tiens plus, et n’ayant jusqu’alors jamais défloré personne, l’idée me vient de lui laisser ce privilège. M’étendant sur le dos, je l’invite à m’enfourcher et, tenant mon pénis à la verticale, à s’enfiler dessus en contrôlant elle-même la perte de sa virginité. L’idée la séduit et elle s’empale lentement, avec ...
    ... précaution, n’émet qu’un petit gloussement et se retrouve à peine une minute plus tard les fesses contre mon bas-ventre. Elle s’affale sur ma poitrine, son museau dans mon cou.
    
    — C’est fait, mon Maître, chuchote-t-elle. Je suis femme, par vous, maintenant et pour toujours. Je suis fabuleusement heureuse. Je vis mon rêve.
    
    C’est qu’elle m’émouvrait presque jusqu’aux larmes sans ce maudit appendice à la fête dans ce fourreau tout neuf et si étroit. Je bouge, elle gémit. Je bouge plus fort, elle gémit plus fort. Je lui demande si ça va.
    
    — Oh oui, répond-elle avec une conviction enthousiaste.
    
    Alors, je m’active du bassin, me fais basculer sur elle avant de terminer en levrette, déversant mon plaisir sur ses superbes fesses. Elle s’affale sur le dos, couverte de sueur, les yeux tricolores, rouges, verts, bleus.
    
    — Tu veux manger quelque chose ? Nous n’avons pas dîné…
    — Oh non merci, j’ai dévoré à midi. Juste un café s’il vous plaît, histoire de voir la route après ce séisme.
    
    Je nous sers deux cafés que nous buvons nus, assis l’un près de l’autre sur le lit, ne cessant de nous regarder, éblouis. Puis elle me prend les bras pour m’attirer à elle, son étrange regard vissé dans le mien.
    
    — J’ai (baiser)… vécu (baiser)… la plus (baiser)… belle (baiser)… journée (baiser)… de toute (baiser)… ma vie (baiser). Merci mon Maître adoré.
    
    J’en reste sans voix. Elle saute dans ses vêtements, prend son sac, sort les clés de sa voiture, je suis encore en train d’enfiler mon boxer, ...
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