Que la montagne est belle !
Datte: 22/05/2025,
Catégories:
ffh,
hplusag,
Oral
préservati,
pénétratio,
yeuxbandés,
confession,
Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
... entrer le loup dans la bergerie. Les deux femmes n’ont pas besoin de moi.
À part peut-être le regard de Myriam lorsqu’il croise ma queue si tendue qu’elle se dresse vers le ciel. Ciel, exauce mon vœu…
Jouissance différente, plus silencieuse, mais intense.
Nouveau baiser goûteux. Deux corps magnifiques qui se séparent. Elles me redécouvrent. Elles se sourient et telles deux prédatrices rampent vers moi.
Beaucoup d’hommes aimeraient être à ma place. Deux belles femmes qui s’occupent de ma verge. Deux langues, quatre mains, deux bouches, deux regards pervers.
Ma queue ruisselle de salive. Parfois, leurs langues se rencontrent et bataillent. C’est bon.
— C’est toi qui as gagné. Commence.
Commence. Oh que oui, je vote pour ! Myriam s’allonge, femelle qui attend le mâle.
Ne bouge surtout pas petite, je reviens. Paroles pensées mais pas prononcées alors que j’extirpe un paquet de préservatifs de ma poche de veste.
Elles me suivent du regard. Myriam semble réagir.
— C’est du latex ?
— Oui, je crois.Un coup d’œil sur la boîte le confirme. Oui
— Attends, je suis allergique.
Elle se lève pour prendre son sac, l’ouvre, fouille dedans, le renverse sur le lit.
— Je ne comprends pas, je suis certaine d’avoir mis celles que j’ai achetées.
Un ange passe. Et puis une petite voix :
— Moi je ne suis pas allergique.
C’est Lise, Lise qui donne l’impression de compatir pour son amie, mais dont un petit sourire dénonce sa pensée. D’ailleurs, elle ...
... n’attend pas et s’allonge.
Qui va à la chasse perd sa place !
Sous le regard de Myriam, plus que dépitée, presque effondrée, je me couvre d’une capote.
La place, je m’en occupe. Plus exactement, je me glisse entre les cuisses ouvertes. Le lit est assez haut, tentative de meubler avec une touche ancienne, et je n’ai pas à fléchir pour que mon gland se place bien. Il écarte des lèvres qui se referment sur lui. Elle est étroite mais je m’y glisse sans effort.
J’aime toutes les positions mais celle-ci, face à face, surtout pour une première fois, dénonce la femme que je prends. Si des gémissements peuvent être feints, le visage est un livre ouvert. Il suffit d’en traduire les mouvements. Celui de Lise est un régal.
Je commence à bouger. Chaque avancée, chaque recul se traduit par des crispations.
Myriam, bonne joueuse, est venue nous rejoindre. Elle caresse son amie.
Moi je tire ses jambes vers le plafond, forçant à s’ouvrir encore plus, à soulever son bassin afin que je puisse la bourrer sans la faire avancer sous la force de mes coups.
Myriam, elle lui caresse le clito. Je sens par moment la douceur de ses doigts contre ma hampe. Elle lui caresse aussi les seins, les tétons…
C’est délicieusement pervers. Si j’ai baisé beaucoup de femmes, certaines très en demande de se faire prendre, affichant sans pudeur leur plaisir, n’ayant pas peur de me guider par des mots crus, demandeuses de tout ce qu’elle n’osait pas demander à leur mari, ce que je vis pour ...