Que la montagne est belle !
Datte: 22/05/2025,
Catégories:
ffh,
hplusag,
Oral
préservati,
pénétratio,
yeuxbandés,
confession,
Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
... elle. Oui c’est ça ! J’entends desC’est de ta faute… Tu avais qu’a t’en occuper. Rien de violent, des reproches entre jeunes femmes. Elles doivent avoir 25/30 ans.
— Bonjour ! Je peux vous aider ?En montage, on se doit de redevenir attentif aux autres.
— C’est cette idiote qui a laissé tomber notre bouteille d’eau.
— Idiote toi-même. Si tu avais pensé à en prendre une aussi, on n’en serait pas à ce point.
— Plastique ou métal ? On peut la voir d’ici ?Je demande.
— Métal, toute neuve. Non, elle a dévalé.
— Alors quelqu’un la retrouvera. Vous allez où ?
— Là-haut.
Je ris.
— Là-haut où ?
— En haut du téléphérique.
— La Flégère donc.
— Oui, c’est ça. Et vous ?
— Le lac Blanc.
— C’est où ?
— À 2-3 heures de plus.
— Waouh.
— Oui, mais c’est magnifique.
— Ah !
Un silence.
Je vais les saluer et reprendre mon chemin. J’ai vu qu’elles sont moins « nunuches » que je le croyais car elles ont des chaussures de marche. Et puis je pense :
— Vous avez à boire ? Le soleil monte, il va vite faire chaud pour aller là-haut.
— Non, cette idiote… Pardon, mon amie a laissé tomber la seule que nous ayons.
— Je peux vous dépanner pour aller jusqu’à la Flégère.
— Oui, merci.
Elles ne font pas les bégueules pour boire à ma gourde. Mais je me retrouve à répondre à la question que je craignais.
— On peut monter avec vous ?
— Je ne suis pas certain que vous puissiez me suivre. Vous ne pouvez pas vous perdre.
— S’il vous plaît.
Elles minaudent et me font des ...
... yeux de velours. Deux gamines et pourtant elles ne sont plus des ados depuis un moment.
Elles me suivent. Je ne vais pas à mon pas normal.
Elles bavardent. Je vais leur conseiller de garder leur souffle mais j’entends :
Beau petit cul.
Sur le moment, je pense me tromper mais elles pouffent de leur remarque.
— J’ai entendu. Vous feriez mieux de regarder où vous posez les pieds et le paysage. En plus…Et je me retourne vers elles sans cesser de marcher. Avec mon short je ne vois pas bien ce qui vous fait dire ça.
— On imagine.Elles rient, manifestement heureuses que je réagisse sur le ton de la plaisanterie. Mais de toute façon, c’est un compliment toujours bon à prendre.
Un long silence. Et puis je décide d’entrer dans leur jeu :
— Si vous trouvez que je vais trop vite, vous pouvez passer devant pour monter à votre rythme, je m’adapterai.
— D’accord.
Décidément, elles ont envie de s’amuser.
Moi, je pourrais dire « beau petit cul » car leur short est plus moulant que le mien et la sueur aide à imaginer. Mais je reste « gentleman », droit dans ses bottes… Sauf que j’ai quelque chose qui, lui aussi, se met droit, et ce n’est pas facile de marcher avec…
Finalement, elles montent avec moi au lac Blanc. Pas si « parisienne » que cela. Elles ont du souffle, et surtout, à aucun moment je ne les ai entendues se plaindre.
Les haltes repos et casse-croûte servent à faire connaissance. Deux amies qui ont décidé de passer quelques jours en célibataire. J’ai ...