1. Que la montagne est belle !


    Datte: 22/05/2025, Catégories: ffh, hplusag, Oral préservati, pénétratio, yeuxbandés, confession, Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe

    ... accessoires » mais qui pour elles étaient essentielles.
    
    Oui, les femmes savent ce qui plaît aux femmes.
    
    Mais Lise sait aussi ce qui plaît aux hommes. Sa main se saisit de mon mandrin. Elle en épouse la forme, l’enveloppant, commençant ce mouvement si naturel de faire bouger la peau encore souple et en recouvrir en partie un gland qui s’en est séparé en gonflant.
    
    Elle me branle mais j’ai envie de plus. Elle comprend lorsque je m’avance un peu, portant ma queue au niveau de ses lèvres.
    
    Je m’y glisse avec délice. Les lèvres soulignées de carmin se referment sur mon gland et ma tige paraît presque terne, encerclée par cette couleur.
    
    Je vois la joue se déformer.
    
    Je sens comme un souffle.
    
    Je vois le visage défaillir, les yeux se fermer, les traits se tirer.
    
    Je sens venir comme une onde qui se propage. Par réflexe je me retire de cette gorge pourtant accueillante. C’est comme si j’avais libéré ce qui se préparait.
    
    LeAhhhhhhhhh. pourrait être de douleur mais personne ne douterait qu’il soit de plaisir alors que le corps de Lise s’arque dans un dernier effort pour s’offrir encore plus à celle qui la gouine.
    
    C’est un spectacle que je n’avais jamais vu. Bien sûr, j’ai déjà fait jouir une femme de cette façon mais jamais avec cette intensité. Lise est-elle si sensible ? Myriam si experte ? À moins que, comme souvent dans le sexe, la situation soit un atout amplificateur ?
    
    J’ai ma réponse dans la suite des gémissements qui durent. Lise ne me voit plus. ...
    ... Elle a posé ses mains sur la chevelure frisée de son amie et la guide pour une nouvelle jouissance ou pour prolonger celle-ci.
    
    — Oui… Myriam… C’est bon… Jamais je… Oui, oui, comme ça…
    
    Oh ce râle. Il me ferait bander si je n’étais déjà dur comme du bois.
    
    Quelques secondes où le temps se fige. Et puis j’entends :
    
    — Viens.
    
    Mais ce n’est pas à moi que cette invitation est adressée, c’est à Myriam qui réapparaît d’entre ces cuisses accueillantes. Lise la guide aussi par ses mains. Je vois Myriam se lever et, attirée comme par un aimant et une envie de partager, venir sur son amie et l’embrasse.
    
    Nul besoin de chercher le plaisir.
    
    Il est là, sous mes yeux, un baiser fougueux par lequel l’une fait goûter à l’autre sa propre jouissance.
    
    Il est là par le geste de Lise qui enlève le bandeau de son amie afin qu’elle communique du regard aussi.
    
    Elles me voient mais ne me calculent pas vraiment.
    
    D’ailleurs je vois Lise faire basculer son amie et se retrouver sur elle. Le baiser fugueur cesse mais c’est pour que Lise promène ses lèvres sur ce corps magnifique. Elle s’attarde sur les seins, joue avec les tétons. Déjà j’entends des soupirs. Mais elle rampe plus bas. Elle aussi tire sur la culotte et Myriam l’aide en se soulevant un peu.
    
    Je connais « la réponse du berger à la bergère » mais Lise le transforme en « réponse de la bergère à la bergère ».
    
    Je bande. J’ai envie de les posséder, mais n’ose perturber ce duo majestueux. À propos de bergères, j’ai fait ...
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