1. « Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale » (31) : Pomponia»


    Datte: 22/05/2025, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... caresser son clitoris. Tullia pose ses lèvres sur un téton en érection. Pomponia crispe ses doigts dans les cheveux de Tullia, pendant que son autre main glisse dans le dos, ses ongles griffent la peau fine et douce des reins.
    
    Tullia à son tour frissonne, ses dents mordillent le téton, puis sa langue se fait douce en se glissant dans la profonde vallée qui sépare la volumineuse poitrine. Un moment, sa langue joue avec le nombril. Pomponia appuie sur la tête, Tullia se laisse glisser le long du corps brûlant. Pomponia écarte largement ses cuisses afin de mieux offrir son sexe. Pomponia sent sa vulve gonflée s’ouvrir. Lorsque la langue de Tullia se pose sur son clitoris gonflé, Pomponia connait rapidement un premier orgasme. Tullia est experte et du bout des doigts elle écarte les bords de la vulve pour, d’une langue douce et dure à la fois, lécher la chair rouge sang.
    
    Pomponia, la matrone austère, n’a jamais connut ça. Elle est dans un autre monde. Elle crie son plaisir et son amour pour Tullia, la suppliant de continuer encore et encore.
    
    Les narines pincées, le souffle court, les yeux mi-clos, Pomponia respire bruyamment. La bouche de Tullia aspire goulûment son clitoris pendant que ses doigts caressent les parois de son vagin et, timidement, son anus. Petit à petit, la langue pénètre le sexe alors qu’un doigt a réussi à détendre le petit muscle rond. Pomponia écarte largement ses fesses et tend ses reins en direction du doigt qui la caresse. Tullia pousse ...
    ... davantage son doigt qui lentement pénètre le muscle rond. Un cri de plaisir accueille l’arrivée du doigt. Lentement, Tullia la sodomise. Un ouragan de plaisir dévaste le corps et la tête de Pomponia. Anéantie, Pomponia s’effondre.
    
    Lentement, Pomponia émerge. Elle sent le poids du corps chaud et vibrant de Tullia, sa langue épaisse lui lèche le visage. Pomponia écarte les lèvres, aspire la langue, le baiser des amantes est voluptueux. Pomponia fait basculer Tullia et, à son tour, la caresse de son corps, de ses lèvres et de sa langue. Le corps de Tullia vibre à chacune de ces caresses. Lorsque, maladroitement, Pomponia pose ses lèvres sur le sexe béant et que sa langue pénètre à son tour l’antre liquéfié, Tullia laisse échapper un long feulement. Elle n’est pas longue à jouir. Les lèvres sur son pubis, Pomponia capte les vibrations de son sexe. C’est une première pour Pomponia, mais qui d’instinct a su quoi faire pour faire jouir Tullia.
    
    Apaisées, les deux femmes sont dans les bras l’une de l’autre. Tullia sent les sentiments contradictoires de Pomponia :
    
    • Je t’aime, Pomponia ! Je veux te dire que j’ai eu envie de toi dès que j’ai fait ta connaissance, chez Fausta. Mais je pensais que c’était impossible, toi si austère, si pure !
    
    • J’ai peu à peu senti que des sentiments forts et inavouables me poussaient vers toi. Les choses se sont accomplies. Il le fallait, je le sais désormais.
    
    • Tu ne regrettes pas ?
    
    • A mon tour de te faire un aveu. Je suis depuis longtemps ...