Entre espionnage et western
Datte: 16/05/2025,
Catégories:
fdomine,
contrainte,
Transexuels
Oral
attache,
policier,
Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe
... documents, il est seulement indiqué qu’elle a un signe distinctif, a commenté Raïssa en faisant la moue.
— C’est quoi ce « signe » ?
— On ne sait pas.
— Okay… et la seconde « bombe » ?
— Que l’Aristo a une amante depuis plus de deux ans ! Qu’elle est dans notre Service ! Qu’elle a pu gravir les échelons grâce à certaines infos qu’il lui a révélées ! Mais qu’il avait décidé de la quitter…
— Pourquoi ?
— Voilà… euh…
Raïssa a baissé les yeux en hésitant à répondre.
— Raïssa… lui ai-je dit, de mon ton ferme qu’elle connaissait bien malgré le fait que j’aie été déjà transfiguré en Milly.
Raïssa a relevé la tête, gênée :
— Parce qu’il voulait la quitter pour partir avec moi ! Il voulait que je sois son agente, son amante !
— Raïssa, que lui as-tu fait ?
— Mais rien ! a-t-elle hurlé.
Tout le monde craquait pour Raïssa. Même Milly qui aurait voulu la prendre dans ses bras pour calmer son angoisse. Mais ç’aurait abîmé sa nouvelle coupe de cheveux…
— Et qui est cette agente, si je peux me permettre… ?
— Juliette.
— Non.
— Si ! Je te montre les docs, si tu veux.
Milly a demandé à voir. Raïssa a fouillé dans son sac, est revenue avec les documents que j’avais déjà touchés, a tourné des feuilles, fébrile.
Pendant ce temps, une réminiscence a jailli en flash : Juliette, avec moi, à New York, alors que l’Aristo arrive dans la grande salle. Je m’étais tourné vers Juliette pour l’encourager, mais je l’avais observé. Elle était hypnotisée, surprise, un peu ...
... déconvenue. Elle retenait son souffle et ne quittait pas des yeux l’Aristo, cet homme en rouge, au chapeau et à la canne au pommeau d’or.
— Juliette, ça va ? À toi de jouer !
Tranquillement, elle avait tourné son visage vers la voix qui lui parlait, la mienne. Ses yeux semblaient perdus, sa bouche tombante.
— Ça va ?
Elle s’était soudainement ébouriffée, m’avait reconnu puis était partie à la rencontre de l’Aristo, diversion pour que je puisse chiper les documents que Raïssa montrait à Milly. Un extrait d’un rapport d’opération écrit par l’Aristo. Juliette y est décrite physiquement. On ne pouvait pas se tromper : « … a beautiful tall woman, blonde, with generous forms, breasts to revive hope, hair so soft : a cold statue… ». Textuellement, c’était Juliette.
L’Aristo déclarait à ses employeurs l’avoir retournée.
Raïssa, Milly et moi nous sommes regardés, estomaqués. Milly ne voyait pas les tenants et aboutissants. Moi, un peu trop, mais j’étais incapable de bouger. Raïssa a alors déclaré :
— C’est pour ça que tu vas la rencontrer aussi. Il faut qu’elle l’avoue, il faut que tu la fasses craquer !
Ainsi, devant cette espionne double ou triple, alors que le soleil tombait dans le sillon de ses seins, Milly a attaqué une Juliette surprise par le ton masculin que l’agente venait de prendre en disant :
— Faudra-t-il vous tirer tous les vers du nez, Juliette ? Ce que je veux savoir !(toujours d’un ton ferme et masculin) c’est votre relation avec l’Aristo ...