1. Le château


    Datte: 15/05/2025, Catégories: grossexe, voyage, Oral fsodo, hgode, sm, donjon, attache, BDSM / Fétichisme fouetfesse, pastiche, Humour fantastiq, contes, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... faire pour la dame et Alexia me répond que c’est à moi de la punir. Comme je proteste, elle m’affirme que ni le Prince ni elle ne peuvent s’en charger, notre cavalière aux seins violets non plus.
    
    Alors je me mets au travail. J’attache les poignets de la dame ; elle me laisse faire obligeamment ; elle est très calme maintenant. Puis j’utilise la poulie pour tirer ses bras vers le haut jusqu’à ce qu’elle soit sur la pointe des pieds.
    
    — Et maintenant, dénudez-là, me conseille le Prince.
    
    Je lui tourne un peu autour, n’osant pas encore me lancer. Je remarque au passage que ses tétons sont bien saillants sous la chemise. Je remarque aussi qu’elle me fixe en permanence avec une expression si lascive que je me demande ce qu’elle attend de moi. Et puis je comprends. Elle me croit incapable d’aller jusqu’au bout et elle se moque de moi avec ce regard insistant. Alors la rage – et le désir – me prend et j’attrape sa chemise par le col et tire violemment vers le bas. Le tissu se déchire sur toute la longueur et ce qui en reste tombe à ses pieds.
    
    La voilà enfin nue, cette maîtresse de maison aux mœurs dépravées. Je la contemple un peu pendant que j’entends le Prince qui cravache son employé. C’est une femme magnifique, ce dont je me doutais depuis le début. Les fesses sont charnues et molles mais de belles proportions et d’une rotondité presque parfaite ; la taille est encore bien fine pour son âge et le ventre à peine bombé ; elle a de gros seins qui ballottent au rythme de ...
    ... ses mouvements pour garder l’équilibre, avec ces gros tétons sombres que j’avais vu pointer sous la chemise. Je m’approche et les pince un peu, plus pour en apprécier la fermeté que pour lui faire mal. Je ne suis pas encore résolu à la violenter. Je sais que c’est la règle mais je n’ai jamais frappé une femme et je ne sais pas si j’en suis capable.
    
    Le supplice de Bridge semble terminé. L’affreux bonhomme est lardé de rayures rouges que même ses poils ne peuvent cacher. Et le monstre recommence à bander. C’est la faute d’Alexia. La jeune femme a pris une sorte de matraque en caoutchouc et elle l’enfonce à la force de ses petits poignets dans le fondement du gnome. L’intérêt évident qu’elle y prend me répugne un peu et je me retourne vers Madame Moorland qui me regarde toujours.
    
    La cravache est de nouveau disponible. Je la prends en main et m’approche d’elle. Je voudrais la voir avoir peur. Je lui tapote doucement les seins et le ventre avec mon instrument pour l’inquiéter.
    
    — Fouettez-moi, dit-elle alors d’une voix sourde. J’attends ce moment depuis que vous avez passé la porte du château. Je suis si mouillée que le jus me coule le long des cuisses, petit salaud.
    
    Bon Dieu ! Je reçois sa demande comme une décharge électrique. Je lui claque d’abord un nichon, puis l’autre dans la foulée. Elle grimace un peu mais elle dit : « Encore ! » alors je m’occupe de son cul. Un coup, deux coups, trois coups, puis je ne les compte plus, je frappe à en avoir mal au bras et elle se ...