Le château
Datte: 15/05/2025,
Catégories:
grossexe,
voyage,
Oral
fsodo,
hgode,
sm,
donjon,
attache,
BDSM / Fétichisme
fouetfesse,
pastiche,
Humour
fantastiq,
contes,
Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe
... petits coups sur sa chatte exposée. Elle ne compte pas les coups puisqu’elle est bâillonnée. Au bout d’un moment, c’est insoutenable, il s’arrête, contourne sa victime et se déculotte. Évidemment, il bande comme un taureau, ce monstre. Il enlève le bâillon de la bouche de la grosse Sally et lui fourre à la place son braquemart géant. La pauvre femme hoquette, mais qui s’en soucie ? Bridge va et vient dans sa bouche comme si c’était un cul. Heureusement, cela ne dure pas, il jouit vite, du sperme jaunâtre qui dégouline le long des lèvres de la cuisinière. Lui se rhabille et ils s’en vont tous sans un mot de plus, Prince compris car on l’a détaché tandis que je matais, il n’y a pas d’autre mot, la punition de la cuisinière.
Je reste seul avec elle dans la grande pièce. Le soleil commence à lancer ses premiers rayons à travers les croisées. Je m’approche d’elle, elle est dans un état pitoyable. Le sperme coule encore de sa bouche entrouverte, des bleus commencent à se former sur son dos et ses grosses fesses sont un champ de bataille. Je lui propose aussitôt de la détacher.
— Mais laissez-moi, pauvre idiot, me répond-elle, sinon ils me puniraient encore.
— Ça ne vous fait pas trop mal ?
— C’est une question d’habitude, mon petit monsieur, et ça en valait la peine. Le Prince en personne m’a fourré de sa jolie queue pointue. J’ai adoré ça. Vous, vous avez refusé, tant pis pour vous. Retournez dans votre chambre. Je vais dormir un peu sur ce bon vieux cheval de bois ...
... et Bridge viendra me détacher s’il veut des pancakes au petit-déjeuner.
Je la laisse donc et retourne à l’étage supérieur. Dans le couloir, au moment d’entrer dans ma triste cellule, j’entends râles et soupirs venant d’un peu plus loin. Au-delà de ma porte, le couloir est sombre mais une lumière provient d’une chambre dont la porte n’est pas fermée. Je m’avance, glissant sur le parquet pour étouffer les bruits de mes pas et je me place dans l’ombre, face à la porte à moitié ouverte, pour épier ce qui se passe ici.
Je ne suis pas déçu. La vision est parfaite. Ce n’est pas une chambre mais une salle d’armes ou autre, avec des étagères le long des murs couvertes de heaumes et d’écus. Mais ce n’est pas ce que je regarde. Au centre de la pièce, vide de tout meuble, la dame du château, Madame Moorland est à quatre pattes sur le sol, la chemise remontée jusqu’aux épaules et Bridge est derrière elle, nu, poilu comme un singe, et il la besogne avec son ardeur coutumière, ses mains incrustées dans les hanches moelleuses de la dame, sa bite énorme entrant et sortant de la vulve dilatée, dégoulinante de jus. Je me fige et j’observe. Le spectacle est fascinant. Les fesses de la patronne sont plus grosses que ce que j’avais imaginé, rougies par le ventre poilu du gnome qui les tamponne avec véhémence ; ses seins généreux se balancent allègrement au rythme des coups de reins de son amant ; son visage est déformé par la jouissance et pourtant ils sont tous deux aussi silencieux que ...