Le congrès - conclusion
Datte: 14/05/2025,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: J A, Source: Hds
... Ce soir, elle n’a pas voulu que je la sodomise et elle a encore refusé qu’on passe la nuit ensemble.
- Tu lui as fait prendre son pied à cette salope ?
- Ça oui ! C’est sûr que la queue de son cocu n’est largement pas à la hauteur de la mienne. Le gars doit avoir une petite bite et ne pas savoir s’en servir. Cette pute jouit comme une folle avec moi, elle ne doit pas en avoir l’habitude.
- Trop cool, tu as de la chance ; j’aimerais bien fourrer une chatte avant la fin du congrès. Qu’est-ce que tu vas faire alors ?
- Demain soir, je vais forcer cette salope à boire mon foutre pendant toute la nuit. Je vais me faire un plaisir de l’enculer ; elle doit être vierge du p’tit trou. Ce ne sera plus un cul mais une autoroute, et quand elle sera bien chaude, je vous inviterai à participer. On va la baiser ensemble, comme d’habitude. Je suis sûr que cette chienne va adorer l’expérience.
Les deux gars acquiescèrent bruyamment. Je n’en revenais pas, ce Patrick parlait de moi comme d’une merde et de Sophie comme de la dernière des putes. Bon, sur ce dernier point j’étais d’accord avec lui, mais moi j’avais le droit de le dire, car j’étais le mari trompé. Lui la voyait juste comme un trophée pour se vider les couilles et gagner à un jeu. Il allait entraîner Sophie encore plus loin dans la débauche, en la prêtant à ses amis.
Combien de couples ces salauds avaient-ils détruits ? Ils allaient me le payer. Je m’étais retenu pour ne pas fracasser une chaise sur la tête de ces ...
... fumiers et j’étais parti en tremblant de rage.
J’étais rentré cette nuit-là avec un plan, ou plutôt une idée en tête, j’avais déménagé, vu mon avocat et laissé ma surprise pour le retour de Sophie, samedi matin. Je m’étais écroulé chez mes parents et j’avais dormi 8 heures d’affilée, remplies de cauchemars. En début de soirée, j’avais pris ma voiture et refait les 300km.
J’étais fatigué, je m’étais garé près de l’hôtel, dans un coin discret et peu transité, et j’avais essayé de dormir. Je n’arrêtais pas d’imaginer ce salaud, enculant ma femme, lui faisant avaler son sperme et la baisant avec ses potes. Il va s’en dire que j’avais dormi peu et mal. À 5h l’alarme m’avait tiré de ma torpeur, c’était tôt, mais je craignais de rater le départ de cette crevure.
Dix minutes plus tard, j’étais devant l’hôtel, dans un coin discret pour voir sans être vu. Je ne voulais pas prendre le risque de tomber sur Sophie. J’avais rapproché mon véhicule, au cas où. Cette partie de mon plan comportait des lacunes béantes ; je voulais me venger de ces salauds, point. Je ne savais ni où, ni quand, ni comment, j’attendais juste une opportunité.
Peu après 9h, j’avais vu sortir le trio d’ordures. Après une brève discussion, ils s’étaient séparés. Les deux complices s’étaient dirigés chacun vers une voiture et le dénommé Patrick était parti à pied en direction de la gare. J’avais compris qu’ils ne travaillaient pas ensemble et qu’ils ne venaient pas de la même ville. Ils se retrouvaient aux ...