1. Jean Dubois, capitaine de gendarmerie


    Datte: 28/07/2019, Catégories: fh, extracon, uniforme, Oral extraconj, Auteur: Dudule77, Source: Revebebe

    ... la voiture et nous partons. Après à peine quelques kilomètres.
    
    — Bien ! Maintenant expliquez-moi, que je ne sois pas trop étonnée, me dit-elle avec un sourire que je ne connaissais pas.
    — Voilà : dans ma dernière campagne militaire en Irak, j’ai participé et même commandé une action d’envergure pour délivrer des otages. Elle s’est déroulée au-delà de ce qu’on imaginait car en plus de délivrer tous les otages, nous avons détruit tout le campement (avec l’aide des avions américains) et ce camp était sous la coupe des islamistes tchétchènes, vous savez ceux que Poutine voulait exterminer jusque dans leurs chiottes (dixit Poutine) dont le redoutable Gourdaieff, ennemi juré du président. C’est pour cela qu’il veut me féliciter lors de sa venue à Paris pour une conférence sur le Moyen-Orient, je crois.
    — Félicitations, mon capitaine !
    
    Nous voici arrivés dans la caserne parisienne où nous attendent nos chambres. Chambres pas très grandes mais bien équipées avec un petit lit de 0,90 ou 1 mètre de large, un fauteuil et une petite table.
    
    Elle pose sa valise sur le lit et nous nous donnons rendez-vous dans une heure, le temps de se préparer. Quand elle vient frapper à ma porte, je n’en crois pas mes yeux. Elle est vêtue d’une robe en lamée jaune, sous un caraco rouge, qui lui arrive largement au-dessus du genou, une coiffure à la garçonne et un maquillage discret mais avec un rouge à lèvres sublime. Devant mon attitude, elle me dit :
    
    — Ça ne va pas ? Je suis pas bien ...
    ... habillée ?
    — Vous êtes très jolie, colonel, je suis venu avec un gendarme et me voici avec une très élégante jeune femme. Ça change ! Je repense au proverbe « L’habit ne fait pas le moine. », c’est peut-être vrai mais ici sûrement pas.
    — Du calme, capitaine, dans chaque femme soldat, il y a le soldat mais la femme n’est pas loin, me dit-elle un sourire en coin.
    
    Pendant tout le voyage dans Paris pour arriver à cette réception, je ne peux m’empêcher de lorgner ses admirables jambes fuselées.
    
    Après un contrôle d’identité à l’entrée de la rue de l’ambassade de Russie, qui est bloquée par les CRS, nous pénétrons dans celle-ci. Accueillis par l’ambassadeur lui-même, il nous conduit dans la grande salle de réception, il y a beaucoup de monde, il a bien fait les choses, canapés de caviar, blinis, vodka, champagne, trônent sur différentes tables, un serveur nous tend un verre.
    
    L’ambassadeur me prend à part :
    
    — Le président va venir dans une heure environ, il va faire un discours à l’attention de nos compatriotes et va vous remettre une médaille de courage et dévouement pour notre patrie, je vous rappellerai à ce moment-là, d’accord.
    
    Effectivement tout se passe comme prévu, me voici médaillé. Je cherche Annie, je la retrouve, elle est en grande discussion, un verre de jus d’orange à la main, avec un groupe de femmes, tout va bien. Environ une heure après, un serveur vient me voir pour me dire que ma femme (ma femme ? ah oui Annie) n’est pas bien et qu’elle m’attend vers les ...
«1234...8»