1. Jean Dubois, capitaine de gendarmerie


    Datte: 28/07/2019, Catégories: fh, extracon, uniforme, Oral extraconj, Auteur: Dudule77, Source: Revebebe

    ... toilettes.
    
    Je la retrouve assise sur une chaise, effectivement elle est toute blanche, elle veut rentrer, elle ne se sent pas bien. Je fais mes adieux à l’ambassadeur et bras dessus, bras dessous nous voici repartis vers la voiture.
    
    — Je n’ai bu qu’un verre de champagne et que du jus d’orange, me dit-elle.
    — Du jus d’orange dans des verres à eau ou dans des coupes à champagne ?
    — Dans des coupes, je crois.
    
    Ce n’est pas du jus d’orange qu’elle a bu, mais de la vodka-orange ! Et ce n’est pas pareil, c’est pour cela qu’elle est dans cet état. Ce n’est pas la première fois que je ramène un camarade saoul dans sa piaule (à l’armée, c’est courant) mais une femme, c’est bien la seule fois.
    
    Je roule doucement fenêtre ouverte, cela va la dessaouler mais en arrivant vers nos chambres cela ne s’est arrangé. Je l’aide à monter et je la dépose sur son lit. Qu’est-ce que je fais ? Je la déshabille ? Je ne sais pas. Elle a envie de vomir ; je l’installe au-dessus de la cuvette des WC. Après je la relève, sa robe en a pris un coup. Bon allez, je vais la lui enlever, elle sera en sous-vêtements, la pudeur sera sauve. Je lui passe sur le visage une serviette démaquillante et me mets à la recherche d’une chemise de nuit dans sa valise. Ça y est, j’en trouve une.
    
    Je lui enlève son caraco, comment cela s’enlève cette robe ? C’est bon, je trouve une fermeture éclair dans le dos et zip. Puis surprise, oh ! Elle ne porte pas de soutien-gorge en dessous, la robe en fait office. ...
    ... Elle ne dit pas un mot, ses seins charmants se balancent au rythme de mon déshabillage. Je continue, elle porte aussi une paire de bas qui tiennent tout seuls, allez ! Je lui enlève. Et sa culotte ? Je lui laisse quand même. Je lui mets sa chemise de nuit et j’essaie de la coucher.
    
    — J’ai envie de faire pipi, me dit-elle.
    
    Me voilà bien ! Bon il ne faut pas laisser un(e) camarade dans l’ennui, je la conduis aux WC, ouf ! Elle enlève seule mais difficilement sa culotte et je la mets sur la cuvette. Je m’éloigne dans la chambre et quand je la revois se tenant à la porte des WC, je vais au-devant d’elle et la couche dans le lit. Maintenant j’espère que cela va bien se passer. Je vais la laisser seule et je vais rejoindre ma chambre. Mais la main sur la poignée de la porte, je l’entends qui pleure, j’essaye de la consoler, je lui dis qu’il faut dormir et que après ça ira mieux demain, mais elle remet à pleurer de plus belle.
    
    — Je suis malheureuseeeee, personne ne m’aimeee ! Restez avec moi, ne m’abandonnez pas.
    — Oui je reste. Allez, dormez maintenant. Je m’installe dans le fauteuil, si vous avez des problèmes, je serai à côté.
    
    Je m’installe dans le fauteuil, je vais essayer de dormir tout en gardant un œil sur Annie. Je me mets à l’aise ne gardant que mon caleçon. Je trouve une couverture et à peine installé, je l’entends qui pleure de plus belle.
    
    — Qu’est-ce qu’il y a ?
    — J’ai froid, je suis seule, venez avec moi me réchauffer.
    
    Et pis quoi encore ! Mais elle ...
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