Jean Dubois, capitaine de gendarmerie
Datte: 28/07/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
uniforme,
Oral
extraconj,
Auteur: Dudule77, Source: Revebebe
... bureau et elle engage une conversation. J’en profite pour la regarder de biais, elle est en jupe réglementaire bleu marine et avec une chemise blanche, aussi réglementaire, environ 1,75 m, pas plus de 60 kilos, belle poitrine et petites fesses, un joli petit cul pas mal pour une « vieille » de quarante ans.Une sportive sûrement, me dis-je,bien conservée, la mère. Elle revient, pose son téléphone.
— Bon ! où en était-on ? Ah oui !
Puis elle me fait une série d’observations et d’objectifs chiffrés à tenir ; sur les cambriolages, les accidents corporels sur la grande nationale qui passe par mon secteur, le nombre de PV de toutes sortes…
— Bonne journée, capitaine, me dit-elle en se levant, je suis pressée, le préfet m’attend.
Un salut très vite fait et hop ! Elle m’éjecte de son bureau.
Sur le chemin du retour, je cogite de ce premier contact avec mes supérieurs, ce n’est pas brillant mais j’en ai vu d’autres, elle se calmera avant que cela m’affecte de trop. Heureusement que l’accueil dans ma gendarmerie s’est beaucoup mieux passé, une secrétaire charmante, une ambiance très bonne, ouf !
Puis un matin, je reçois un appel de l’ambassade de Russie me demandant si je suis disponible le samedi du week-end prochain, l’ambassadeur veut m’inviter à la réception lors de la venue du président Poutine à Paris. Je suis assez surpris mais enfin, pas trop. Je lui dis que pour moi c’est bon si mes autorités supérieures ne mettent pas leur veto.
— Non, nous avons ...
... l’accord, je vous le maile maintenant et je vous envoie l’invitation pour deux personnes tout de suite. Bonsoir capitaine.
Presque aussitôt le téléphone sonne, je reconnais la voix mélodieuse du colonel.
— Mes respects, colonel, que puis-je pour vous ?
— Dites donc, Dubois, c’est quoi cette embrouille ? Vous le connaissez comment le Kamarad Poutine ? Dans vos services de nettoyage ? Arrêtez de me prendre pour plus imbécile que je ne suis.
— Je n’ai pas encore d’invitation officielle mais comme j’ai la possibilité de convier une deuxième personne à cette réception si vous voulez venir, c’est comme vous voulez.
Un grand silence, puis elle reprend.
— Quel jour dites-vous ? Samedi prochain ? Bon je n’ai rien de spécial ce jour-là, pourquoi pas, je vous rappelle.
— Mes respects, colonel.
Le lendemain, je reçois effectivement l’invitation officielle pour Monsieur et Madame Dubois Jean (ou compagne). Je connais une caserne à Paris qui dispose de chambres pour les officiers de passage, je les contacte, pas de problème, il y a plusieurs chambres de dispo. Je rappelle ma colonel, elle est d’accord. Je lui explique que c’est plus prudent de dormir à Paris car si la réputation des Russes n’est pas exagérée, ils ne boivent pas que de l’eau plate, je risque de n’être plus en état de conduire, elle est aussi d’accord.
Le jour de la réception arrive. Je récupère Annie (la colonel) à son bureau. Elle porte un tailleur strict mais charmant. Elle a bon goût. Elle met sa valise dans ...