1. « Josy » : Même malade, La petite salope suce des bites. Épisode 8


    Datte: 07/05/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... s’inquiétait pour moi. J’avais pensé à lui toute l’après-midi, je ne l’avais pas vu depuis plus de trois jours et sa présence me manquait. Pourtant, je ne faisais que flirter avec lui depuis un mois, rien de plus. J’étais très heureuse qu’il ait pris des nouvelles de ma santé. Le mardi, il avait une nouvelle fois appelé, mais n’ayant pas de poste à l’appartement, ce fut André qui avait reçu cet appel et le soir au diner, celui-ci m’annonça que Germain passerait à la maison dans l’après-midi du lendemain.
    
    Ma mère se doutait bien de quelque chose, se demandant pourquoi le sous-directeur d’une usine venait rendre visite à une de ces employées : « Tu couches avec lui ma parole ! C’est ça ? » « Non Maman, je te le jure. » Ma mère n’était pas dupe, elle avait vu, d’après mon comportement que je mentais, elle s’était aperçue que j’avais des sentiments pour lui. Je lui avais donc avoué que nous flirtions, simplement. Elle me mit en garde, elle connaissait de réputation, cet homme à femme. Il changeait de partenaire, toutes des « bimbo », chaque semaine et ses folles sorties avec ses copains, au « Plazza » un petit cabaret en ville, faisaient grands bruits dans la région.
    
    Le mercredi après-midi, ma mère était très ennuyée, elle craignait de me laisser seule à la maison. André avait ses visites chez ses patients et elle était obligée de s’absenter. Pour ma part, j’avais encore dormi toute la matinée, je n’avais pas la grande forme, mais j’avais retrouvé un peu de couleur. Après ...
    ... le déjeuner, lorsque maman était partie, je m’étais lavée et peignée puis au lieu de passer un de mes tee-shirt de nuit, j’avais enfilé une petite nuisette de ma mère. J’étais très impatiente, j’avais bien l’intention de profiter du moment passé avec Germain. C’était probablement le grand jour.
    
    J’attendais dans ma chambre, je m’étais recouchée, les draps jusqu’à ma tête. Lorsqu’il était arrivé dans le hall au rez-de-chaussée, comme c’était prévu avec ma mère, ce fut Jean-Charles qui l’emmena jusqu’à ma chambre avant de redescendre poursuivre ses consultations. Je fis semblant de me réveiller, il s’était agenouillé au bord de mon lit et me déposa un petit baiser sur mes lèvres en prenant de mes nouvelles : « Je me suis inquiétée, tu vas mieux ma chérie ? » Je fus surprise de ce terme, comment ça ? ma chérie. Je l’avais pris par le cou et nous nous étions embrassés passionnant.
    
    Ses mains avaient retiré le drap : « Que tu es belle ! » Dit-il avant de commencer à me caresser la poitrine. Très vite une de ses deux mains avait pris possession de mon entrejambe, il continuait ce qu’il avait entrepris dans son bureau, lors de notre première rencontre. Sentir ses doigts caresser mon clitoris et pénétrer ma fente, me faisait un bien fou, je mouillais : « Oh que c’est bon ! » Dis-je honnêtement. Il comprit qu’il pouvait aller un peu plus loin cette fois, lorsqu’il me demanda : « Tu es prête ? Veux-tu aller plus loin ? » Je n’avais pas hésité de lui répondre naturellement : — Oui ! ...
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