« Josy » : Même malade, La petite salope suce des bites. Épisode 8
Datte: 07/05/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
Avec le nombre de clients que nous avions eu au bistrot de la place pendant la fête du village, Christiane, la serveuse et moi-même, nous nous étions surpassées. Côté sexe, Marius ne m’avait pas laissée pour autant, il avait su trouver un moment pendant la soirée et avant de rentrer chez-moi, pour me baiser. Puis le dimanche à treize heures, après le coup de feu au PMU, et dans son bureau en fin d’après-midi au moment de me donner mon argent, il avait su me donner du plaisir. Après ce week-end d’enfer, j’étais littéralement sur les rotules.
Je ne savais pas ce que je ressentais pour Marius, ce n’était pas de l’amour, c’était plutôt un besoin. Je ne pouvais pas me passer de ces baises sauvages qu’il me faisait vivre. À chaque fois, c’était rapide, torride sans violence mais brutal. J’avais l’impression que ma petite chatte appartenait à sa bite, tellement elle s’imbriquait à la perfection. Incontestablement, je n’étais pas amoureuse de lui car l’homme qui était dans mes pensées était bel et bien Germain. Je ne savais pas ce qui m’arrivait avec cet homme.
Cela faisait quinze jours que je le connaissais et que je le faisais attendre. Au début ce n’était qu’un jeu pour moi, cependant j’avais envie d’être avec lui, comme une jeune fille tout à fait normale, je ne voulais pas être sa salope comme je l’étais avec Marius. Surtout que Germain se montrait très patient, il venait me rendre visite au moins deux fois par jour, me laissait discrètement dans ma poche, soit des ...
... petits mots gentils ou me volait un petit baiser dès que nous nous retrouvions seuls.
C’est comme si j’avais remonté le temps, à l’époque de mon adolescence, je regrettais que cela se soit passé ainsi. J’aurais vraiment aimé perdre ma virginité avec lui mais le « mal » était fait. Je n’avais pas envie qu’il apprenne ce que j’étais devenue en six mois de temps, cette salope qui aime tant les hommes et leur sexe. Pour la première fois en trois semaines, Germain avait fini son petit mot doux par : « Je t’aime ma petite Jo. » Cette petite phrase anodine à priori, m’inquiéta un peu, cela devenait-il du sérieux ou avait-il écrit ceci instinctivement, comme un homme pouvait mentir à une femme après baisé avec elle.
Cela m’ouvrit les yeux, car je m’apercevais que moi aussi, j’avais des sentiments pour lui. Ce qui ne m’avais pas empêché de retrouver Marius afin de prendre mon pied avec lui, pendant le week-end suivant. Je prenais beaucoup de plaisir et je me sentais minuscule et fragile avec mes 45 kg dans les bras du colosse de 105 kilos, je me sentais en totale sécurité. Avec le travail en usine et mon boulot en extra au bistrot, je n’avais pas eu de repos depuis près d’un mois. Le lundi matin j’étais totalement épuisée, amorphe et sans aucune énergie. Je dus rester au lit et après m’avoir auscultée, André me fit un arrêt de travail.
J’avais dormi toute la matinée, au déjeuner, le docteur m’annonça que Germain, le fils et bras droit de son cousin, avait pris de mes nouvelles et ...