« Josy » : Même malade, La petite salope suce des bites. Épisode 8
Datte: 07/05/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... mes ongles tellement je m’étais accroché à lui. C’était la première fois que j’avais pris autant de plaisir à faire l’amour. Ce n’était pas mes orgasmes à proprement parlé, c’était plutôt un pur bonheur provenant au plus profond de mon cerveau. Malgré mon état de satisfaction, Germain, pressé de savoir ce que j’avais ressenti, en voulait la confirmation : « Alors ! C’était comment ? » « Génial. Tout simplement génial. » Après l’avoir remercié en l’embrassant, nous nous étions couchés l’un contre l’autre, ma tête reposant sur son épaule :— Malheureusement je n’étais plus vierge. J’aurais préféré l’être, je t’assure. Dis-moi Germain, le regrettes-tu ?
— Pas du tout, au moins tu as pu prendre du plaisir car les premières fois ne sont pas toujours très appréciées.
Sans lui dire que j’avais aimé être une petite salope, je n’avais plus envie de lui mentir. J’étais bien avec lui, il savait me mettre à l’aise. Je lui avais donc avoué en ne disant pas toute la vérité que c’était André le vieux docteur qui m’avait dépucelée et que par la suite, j’avais couché avec mon petit copain. Lorsque je lui expliquai comment le docteur venait me prendre presque de force dans ma chambre, il s’était esclaffé :— Le vieux salaud ! C’est un pervers, ça tient de famille, mon père est pareil, il a toujours aimé se taper les jeunes femmes.
Blottie dans ses bras, je lui avouai que j’avais adoré faire l’amour avec lui et que je n’avais pas envie qu’il me quitte. Cependant il était désolé, il ...
... devait déjà repartir car le devoir l’attendait : « Tu es vraiment adorable Jo, je suis dingue de toi. » M’avait-il dit après m’avoir embrassé une dernière fois. Me retrouvant seule, pensive dans ma chambre, après avoir réfléchi à ce qu’il m’était arrivé ces derniers mois, je pris la sage décision de ne plus baisé à tort et à travers et de me consacrer uniquement à Germain. Après ce qu’il venait de me faire vivre, je n’avais pas l’intention de le tromper.
Le jeudi matin de bonne heure, j’avais envie de le revoir, je m’étais levée pour aller travailler. Néanmoins, j’avais encore des difficultés, la fatigue était toujours présente et le docteur insista afin que je me recouche : « Tu ne reprendras que lundi Josiane. Il est hors de question de bosser dans ton état. » Une heure plus tard, ma mère était venue me voir et me demanda, en tenant la capote entre ses deux doigts : « C’est à qui ? Je l’ai trouvé dans la poubelle de ta chambre ? Ne me dis pas que tu n’as pas couché avec lui cette fois-ci. »
Je ne pouvais plus nier l’évidence, j’avouai à maman que j’étais tombée amoureuse de Germain. Elle prit sa tête entre ses mains et jura : « Oh bon Dieu ! Mais tu ne sais pas où tu as mis les pieds. » elle s’assis sur mon lit et commença à me raconter ce que très peu de gens connaissait. Un mois après qu’André l’ait forcé à baiser avec lui, il avait invité son cousin Eugène, le père de Germain et son ami Charles B, un homme un peu plus jeune. Colette dut ce soir-là pendant le service, se ...