Crise de la cinquantaine ! Vraiment ? - Histoires de Sexe

Crise de la cinquantaine ! Vraiment ?

... Je vais lui faire comme j’aime le faire avec Sandrine lorsque je la prends par son petit trou. C’est plus fort que la levrette, plus transgressif avec une pointe de bestialité.

Je me redresse. Sans quitter la chaleur de son cul, je passe sur lui, une jambe de chaque côté de ses reins. Je n’avance plus… je descends… je descends et je monte.

Il pourra lui dire la vérité. Sa vengeance sera totale. Oui, un inconnu l’a baisé sur la plage, l'a traité comme une lopette et lui a défoncé le cul avec un mandrin d’un autre âge…

— Crachez sur mes reins.

Il a dû sentir que j’allais jouir. Pourtant je ne le ménage pas et ses cris ne sont pas feints. Je sais baiser ma femme. Il n’y a pas de différence.

Oh que si, il y a une différence ! C’est un homme que j’enfile et j’imagine qu’on me fasse la même chose.

Il y a longtemps que je n’avais éjaculé avec autant de plaisir et le foutre qui vient « tacher » son bronzage parfait est d’une rare densité…

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Quinze jours plus tard.

J’ai garé la voiture assez loin. Je ne veux pas que quelqu’un puisse la reconnaître et imaginer que nous sommes dans ce lieu. Le « Soleil Levant » est connu dans la région.

Elle n’a pas cédé. Déjà, elle est revenue du marché avec une robe qu’elle m’a montrée avec provocation :

— Si aucun homme ne vient à moi, alors c’est que tu as raison. Je ne suis plus baisable.

Mais en disant cela, elle avait un sourire qui démentait ses propos. Elle sait bien qu’elle est « ...

... baisable ». Pendant toutes ces années, elle a fait ce qu’il fallait pour rester jeune. Natation et gym sont ses assistants. Elle est belle. Comment puis-je ne plus avoir envie d’elle ?

Où a-t-elle pu trouver pareille robe ? Pas dans les boutiques de la station, ce n’est pas le genre du coin. J’ai toujours été étonné que dans cet endroit « familial », un club de ce type puisse exister, même s’il est très à l’écart du passage des touristes. À Roy… sûrement. Elle sait qu’il y a un sex-shop dans la ville.

Pas question que je la laisse aller seule dans cet endroit. Si je suis présent, elle n’aura probablement pas le « culot » de se laisser draguer, et plus si…

— Finalement, tu viens ? Tu as peur que je ne trouve pas le chemin toute seule ? Non, bien sûr. Tu reconnais que c’est ce que tu veux, me voir avec un autre homme ? Non ? Tu n’as pas le courage de tes envies ! Si tu n’assumes pas, alors ne viens pas. Je me débrouillerai bien toute seule. Tu penses que je vais reculer au dernier moment ? Tu me connais pourtant ! Tiens, regarde, finalement je ne vais pas mettre de soutif et de culotte. Cela favorisera le contact. Tu ne protestes pas ? Tu vois bien que j’ai raison. Mais si tu viens, je ne veux pas de scandale. C’est soirée libre. Tu peux aller de ton côté si tu veux. Je ne suis pas jalouse… Moi.

Je vais avouer mon fantasme. Ainsi, elle laissera tomber. Mais si j’avoue pareil changement dans ma sexualité, ne va-t-elle pas se sentir trahie… ? Cela risque d’être encore ...