1. Crise de la cinquantaine ! Vraiment ?


    Datte: 06/05/2025, Catégories: fh, hh, couplus, candaul, plage, boitenuit, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, hsodo, confession, bisex, Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe

    ... prix à payer pour le plaisir que je reçois. De longues secondes, nous nous suçons. Et puis il bouge. Il fait quelques pas vers ses affaires et en retire une boîte dont il extrait ce qui est une évidence, un préservatif.
    
    Il revient vers moi. Nos regards se croisent. Je le vois déchirer l’enveloppe, la capote est entre ses doigts. Il va en recouvrir son sexe et me posséder, m’enculer comme une tapette de rencontre, faisant d’une pierre deux coups. Se venger de l’infidélité de son compagnon et réveiller la femelle qui est en moi.
    
    Mais non. C’est vers mon sexe qu’il dirige la capote. C’est ma bite qui se retrouve couverte de cette seconde peau transparente.
    
    Alors, avec sa main portée à ses lèvres, puis vers son anus, il se prépare. Il me chevauche. Comme mon épouse, il guide mon sexe d’une main pour se placer bien au-dessus. Il descend dessus. Je sens mon gland forcer le muscle, mais cela ne dure que l’espace d’une seconde.
    
    C’est étonnant. Si je ferme les yeux, je peux imaginer Sandrine se posséder. Ma femme aime le sexe et j’en ai toujours été ravi. Mais, elle apprécie tant faire l’amour, que toute ma vie j’ai imaginé que je pouvais ne pas la satisfaire, ce qui m’a rendu jaloux, guettant le moindre signe de complicité avec d’autres hommes, surveillant parfois ses messages. Je sais, ce n’est pas glorieux, mais je l’aime tant. Souvent, elle me rassure, sentant mon inquiétude :
    
    Déclaration souvent répétée alors que nous reposons après avoir baisé comme des malades. ...
    ... Car moi aussi j’aime ça. J’aime l’entendre gémir comme…
    
    Comme celui qui s’empale sur mon gourdin. Sur son visage aussi, je vois le plaisir. La seule différence c’est ce sexe dont les couilles touchent mon ventre.
    
    Il se baise sur ma queue. Je le branle. Putain que c’est bon. Je sens que je suis d’une dureté oubliée depuis des mois. Il a mon âge, mais en mieux conservé, barbe bien taillée, mais crâne lisse, comme un œuf.
    
    C’est bon. Mais il bouge. Je le vois se mettre à côté de moi, en levrette. Il doit voir mon étonnement.
    
    — Prenez-moi. Je veux pouvoir dire à Romain qu’un homme m’a possédé… que je me suis vengé !
    
    J’obéis, mais c’est un ordre bien agréable. Je bouge, je me place derrière lui. En me levant, je vérifie qu’aucune silhouette n’est à l’horizon. Nous sommes seuls.
    
    J’aime la levrette, j’imagine, comme beaucoup. J’aime la levrette, car celle qui est à quatre pattes, d’une certaine façon, se livre à vous. Celle ou Celui…
    
    Son petit trou est lisse. Il respire et c’est troublant. Je pointe mon gros gland. S’il ne s’était pas déjà possédé avec, je penserais que je vais lui faire mal. Mais non. Je pointe… Je pousse… Le muscle s’ouvre… le muscle cède… Je glisse… Il gémit… J’avance… Je suis tout au fond, mon ventre est contre ses fesses.
    
    Je bouge. Je n’ose aller trop fort. Mais :
    
    — Prenez-moi fort. N’ayez pas peur. Je veux pouvoir dire à Romain que je me suis fait baiser sur la plage par un inconnu. Il sait que je ne mens jamais.
    
    Il ne mentira pas. ...
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