La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1551)
Datte: 04/05/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... venait-il y séjourner comme moi dès qu’on me siffle ? »..
Sur ces impressions et questionnements, je me sentais perdre l’esprit, mes yeux se fermaient de fatigue, je m’endormais… Rêvais-je ou était-ce la réalité… Combien de temps s’était-il écoulé ? Cinq minutes ? Une heure ? Une nuit ? En tout cas, cette sonnerie me sortait des bras de Morphée. Sans ouvrir les yeux, j’essayais d’attraper mon téléphone posé sur mon chevet, pour arrêter cette sonnerie qui me harcelait, qui me semblait être celle de mon réveil. Je me trompais… ce n’était pas celle du réveil, mais bien un appel téléphonique, nous étions donc très certainement le matin ! Vaseux, la voix cassée et rauque, je m’entendais dire :
- Allo !
- Bonjour Monsieur Lapeyrière, je suis Martial Montambert, Directeur de la société Kinet Export. J’ai reçu votre CV du cabinet de recrutement, je souhaite vous rencontrer au plus vite. Etes-vous disponible ce matin à onze heures ?
« Houlala qu’est-ce qu’il me veut celui-ci, il devrait parler plus vite encore », pensais-je. Pour dire vrai, je n’avais rien compris de ce court monologue… Mon cerveau était totalement embrumé, ne captait et n’imprimait rien, j’étais totalement dans les vapes…
- Vous m’avez dit onze heures Monsieur Martial
- Non, Monsieur Montambert !, me reprenait cet homme fermement
Non quoi… avais-je mal compris l’horaire ? « Putain ...
... réveille-toi Alex ! »
- Oh excusez-moi, Monsieur Montambert !… Entendu Monsieur, vous pouvez me communiquer l’adresse du lieu de rendez-vous.
- Je vous l’envoie de suite par SMS, avec la localisation GPS, car l’entreprise est difficile à trouver dans cette zone industrielle. Je vous dis donc à tout à l’heure, onze heures dans mon bureau. Au revoir Alex !
Avais-je bien entendu, il m’avait appelé Alex… c’était surprenant ! Je regardais l’heure sur mon téléphone. Horreur… il était neuf heures trente du matin ! Le sms arrivait… Il fallait que j’aille à Macon… Je sautais du lit et dans un pantalon de toile, enfilais une chemise blanche, une paire de chaussettes, dévalais les escaliers, me faisais couler un café, me regardais dans miroir du salon. « Oh non, tu ne peux pas mettre ce pantalon trop étroit… on voit distinctement ta cage ! », me disais-je. Je remontais quatre à quatre les marches, me changeais, prenais un pantalon plus large, je redescendais, buvais mon café d’une traite, un dernier coup d’œil dans le miroir, passait ma main dans ma chevelure pour ébouriffer un peu mes cheveux aplatis, chopais une veste, passais une paire de chaussures à mes pieds et courais jusqu’à ma voiture après avoir pris la clé de contact et mes papiers… Ouf j’étais dans les temps. Avant de démarrer, j’adressais un sms à Monsieur le Marquis pour l’informer de ce rendez-vous…
(A suivre…)