1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1551)


    Datte: 04/05/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... mouvement, sans me déhancher par des va-et-vient invasifs car les allers et retours se faisaient par les mouvements réguliers des hanches de mon congénère… Je commençais par haleter, souffler et respirer de plus en plus fort, gémir et me crisper, me tendre et à bout de souffle, gueuler de toutes mes forces ma jouissance avec l’impression d’éjaculer des litres de foutre dans le cul d’esclav’antoine ! Je m’affaissais, m’allongeais sur son dos, oubliant cette cordelette autour de nos couilles respectives, nous liant l’un à l’autre, oubliant le Maitre et l’obtention de Son accord préalable… Je prodiguais et distribuais de petits baisers à mon congénère, sur sa nuque et son cou qu’ils le firent frissonner et soupirer d’extase.
    
    - Vous êtes beaux Mes chiens, vous M’avez offert un beau spectacle en copulant et vous baisant ainsi devant Moi… J’ai fait quelques photos de vous deux… peut-être serviront-elles un jour ?…
    
    Dans l’heure qui suivait, je repartais du Château avec un pincement au cœur. J’aurai su donner encore de ma personne pour rester près d’esclav’antoine. Mais le Maître en avait décidé autrement. Walter était venu le chercher pour l’emmener ailleurs, où ?... « Quand le reverras-tu ?, seras-tu d’ailleurs autorisé à le recroiser ? », pensais-je. L’idée de jamais le revoir me mettait dans un sale état. Alors en arrivant à la Bastide, après une bonne douche bien chaude, je branchais mon enceinte Bluetooth, m’asseyais dans un fauteuil et écoutais à fort volume, une ...
    ... playlist de musique de hard-rock dont l’iconique Bon Scott que j’avais sur mon IPhone. J’avais besoin de bruit autour de moi, un bruit assourdissant après ces huit jours passés dans le silence absolu. J’avais besoin d’air, pour respirer à pleins poumons, mes portes et fenêtres étaient grandes ouvertes ! J’avais (paradoxalement à la musique pour le calme) besoin de calme et de sérénité, d’être seul, tant j’avais mal vécu ses observations incessantes, méprisantes et dégradantes.
    
    Après un bref repas, je filais au lit, avec des pensées et réflexions ambivalentes : « Etais-je bien fait pour être un esclave ? Mon bien-être n’était-il pas pourtant, en me comportant comme tel ? Etais-je bien fait pour vivre ces ignominies incessantes ? Si non, pourquoi alors prenais-je autant de plaisir tant physique que mental lorsque je les subissais ? »… Mes pensées allaient aussi vers celui qui m’avait quelque peu chamboulé et retourné les tripes. Etais-je tombé amoureux d’esclav’antoine, sans même le connaître ? Je revoyais ces grands yeux bleus, son regard doux, ses lèvres fines, son nez droit, ses cheveux blonds coupés courts, ses doigts longs et fins, ses poils sur ses jambes, son corps musclé, son fessier ferme, sa virilité pleinement assumée… « Serai-je autorisé à le revoir ? Était-il lui aussi attiré par les hommes, ou simplement contraint à obéir aux Exigences du Maître en se donnant à toute personne choisie par le Noble, quel que soit son sexe ? Vivait-il en permanence au Château, ou ...