1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1551)


    Datte: 04/05/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode N°1548) -
    
    Chapitre 17 : L’entretien d’embauche –
    
    Alors que je regardais ébahi, interloqué, la photo, Marie me cravachait le cul d’une volée de coups sans ménagement… Pourtant sévères, ces coups de cravache ne me blessaient pas moralement, ne me faisaient aucun mal mentalement, la douleur certes physique n’avait rien à voir avec d’autres ressentis beaucoup plus forts, beaucoup plus étourdissants. J’étais en effet bouleversé, extrêmement ému, singulièrement affecté. Pour la première fois je venais de voir, sur cette photo jaunie, mes parents nus, s’accoupler en toute indécence, de façon obscène, sans complexe, devant plusieurs personnes, puisque sur ce cliché, se trouvaient des pieds à proximité de leur corps enchevêtré. Mon père semblait prendre du plaisir, son visage était souriant mais aussi crispé, comme s’il était au bord de la jouissance, quant à ma mère, je ne pouvais dire si elle était dans la concupiscence et la délectation. En effet, ses longs et épais cheveux blonds lui couvraient le visage posé au sol entre ses bras joints… La revêche et sadique cuisinière semblait étonnée de ne pas me voir tressaillir, sursauter à chacun de ses coups donnés sur mon fessier… De plus en plus, elle s’acharnait sur mon cul avec véhémence et force, si bien que Monsieur le Marquis, sévère mais toujours bienveillant, lui intimait l’ordre de s’arrêter.
    
    - Ça suffit Marie, ne me ...
    ... l’abime pas… Il a le cul écarlate avec des boursoufflures qui auront du mal à s’estomper… A ce que je sache, ce chien n’est pas puni, alors un peu de retenu et de complaisance…
    
    - Mais vous voyez bien Monsieur le Marquis, que cette petite pute a besoin de souffrir, il ne bronche même pas lorsque je l’assaille ainsi !
    
    - Ça suffit Marie, t’ai-je dit !, reprenais le Maitre d’un ton sec et autoritaire.
    
    - Bien Monsieur le Marquis, comme vous voudrez, c’est Vous le Patron !
    
    La cuisinière, sans doute à regret, cessait en bougonnant, puis repartait… Alors à cet instant, ma nouille toujours dure et raide, profondément logée entre les fesses de mon congénère, commençait à apprécier et savourer ces chairs intimes. Elles enveloppaient et emprisonnaient mon gland et ma bite toute entière, avec de temps à autre des soubresauts ou contractions qui me faisaient frissonner de la tête aux pieds. Presque au bord de l’orgasme, je continuais à assiéger ce cul chaud et accueillant, sans bouger, dans lequel j’étais si bien.
    
    - Branle-le avec ton cul de salope, fais-le cracher en bougeant ton bassin en va-et-vient !, ordonnait le Maitre à l’attention d’esclav’antoine enculé. Et toi, je veux t’entendre mugir de plaisir, gueuler ta jouissance, lorsque tu évacueras tes salissures et souillures, reprenait le Noble cette fois-ci à mon égard.
    
    Crispation, détente, resserrement, décontraction, rétractation, assouplissement, cette rondelle, ce rectum, m’assaillaient sans que je fasse le moindre ...
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